Bon sans surprise. C'était époustouflant.
Ils semblent avoir pris une tournure un peu krautrock sur les derniers morceaux, plus longs, plus hypnotiques, ce qui n'a pas été pour me déplaire.
Mais toujours autant de tubes cryptiques derrière leur son dévorant.
Robber Barons par exemple... je suis tellement ravi que des jeunes gens puissent encore écrire des chansons comme ça de nos jours: 3 accords archi-basiques, un sens de la mélodie substantiel, évanescent, puissant..
Et puis une présence scénique incroyable (John Dwyer est vraiment un excellent guitariste, au sens où je l'entends) sans débordement d'égos hypertrophiés.. Non génial en tous points. Hâte de remettre ça.
The owls are not what they seem.