didithegrave a écrit :
Résumé du topic -
Intervenant : Que de la merde
Principal interessé : Je suis le principal intéressé en personne et ... Même pas mal.
-(grands bruits de chuchotements dans les travées de G.com)-
Intervenant : Que de la merde
Edit: mais la merde représente tout de même ce que l'on a mangé et digéré, en soi ce n'est pas méprisable, beau boulot, mille excuse, bisou, bye, chapeau l'artiste, mouarf mouarf.
Ca rappelle les meilleurs moments de la WWII. Nostalgie quand tu nous tiens.
Moi, ce sont les gens qui ne peuvent jamais, au grand jamais, se remettrent ne serait-ce qu'un tantinet en question qui m'agacent. Ceux qui jamais, au grand jamais, n'admettront qu'au moment de se gausser, ils n'avaient pas tous les éléments en main. Ceux qui jamais n'admettront donc qu'ils ont poussé le bouchon un peu loin, même lorsque la cible de leurs railleries s'est expliquée san sanimosité (elle).
On peut parfaitement critiquer (j'ai maintenu toutes mes critiques - en fait j'en avais une, le reste sur le music business ou la justesse des bends, je le laisse à d'autres plus qualifiés que moi - même si j'ai le même sentiment qu'eux à ce sujet - je me sens juste qualifié sur la manière de jouer le riff de Smoke on the water
) sans s'insulter, même si visiblement il y'en a que ça dérange.
Et on ne va même pas s'amuser à relever le point Godwin le plus surréaliste de ces cinq dernières années hein ...
In rod we truss.
"Quelle opulence" - themidnighter
"It's sink or swim - shut up!"