De retour de Wettingen... après un arrêt (et une orgie de bouffe) chez les parents de mon guitariste (on avait fait l'expédition en groupe au complet)
Poulet fermier aux pommes, purée de courgettes, pommes de terre soufflées au four, carottes à la coriandre...
Stick Men, bonne surprise parce qu'on avait pas pensé à zieuter qui passait en première partie. Après quelques trucs plus ou moins digestes (c'est extrême quand même) saupoudrés de problèmes techniques, ils nous ont clos le set avec The Fire Bird (Stravinsky) et Elephant Talk chanté par sieur Levin.
Puis (après que le bassiste de mon groupe se soit fait dédicacer le cd de Stick men par Tony, non sans lui serrer les deux mains et lui filer des stickers de ses groupes (lol)), on voit débarquer un Steven Wilson mal rasé et ses compères à sa suite, pour The Incident d'un bloc. Assez imparable, pas un pet de travers, même le son était difficilement criticable (j'ai quand même réussi à raler un peu sur les grattes solo pas très audibles)
Ensuite, 10 minutes de pause et ils reviennent jouer des trucs plus ou moins vieux, à savoir et si ma mémoire est bonne :
- The start of something beautiful
- Russia on ice
- Anesthetize (partie du milieu)
- Un tout vieux ("mid 90's" a-t-il dit) que je connaissais pas
- Normal
- Un autre que je connaissais pas
- Way out of here
Rappel :
- The sound of muzak
- Trains (surprenant, non ?)
Assez top tout ça, même si on aurait aimé un "arriving somewhere"... Le voyage était longuet, mais ça valait le coup.