Pink Floyd : vos avis

Testé et approuvé, ça marche aussi quand on est parfaitement clean.

oui bah j'ai jamais pris d'héroine hein, jdis juste que ça donne envie lol

aie aie aie achète l'album malheureux !!
tu passe sà côté d'astronomy domine, lucifer sam, mathilda mother, flaming, pow r toc h, take up thy stethoscope and walk, interstellar overdrive, chapter 24, bike
tout ça à cause dun fouttu gnome (jamais pu m'y faire à celle là...)

Yep! l'intro de Sorrow est terriblement efficace.
La version de Pulse est terrible, d'ailleurs.

Pour The Wall, si tu parlais de moi, attention! je n'ai pas dit que je ne l'aimais pas!
Comfortably Numb fait partie de mes morceaux favoris, Another Brick In The Wall aussi, bien entendu.

Je lui trouve simplement moins de charme que les précédents.

Je trouve que ça tourne trop à la superproduction Hollywoodienne avec des pistes qui se supperposent à n'en plus pouvoir, etc...
Je préfère la simplicité de Meddle par exemple.

On ressent quand même le côté magalo de Waters qui commençait à vraiment plonger dans ses excès et à devenir dictateur. Ca ne lui retire pas son génie, mais c'est ces petites choses qui font que je The Wall ne fait pas partie de mes préférés.

Voilà

ah ok
en tout cas moi jme défonce au film lol

C'est bien ce qui me semblait, toi aussi tu pars en live?

lol nan plus tellement

c'est le premier exemple qui me soit venu à l'esprit. La maitrise du son est incroyable mais j'y trouve trop d'artifices, je préfère le son de Meddle et Dark Side.

mégalo Waters devait l'être depuis un moment, sur the wall on pouvait espérer qu'en sortant tout ce mal-être sur un concept-album ça irait mieux et bien non. Il a remis la sauce avec Final Cut, la mort de son père et les vieux démons étaient toujours là.
The wall reste assez cohérent, dans ce style psychanalytique, je trouve qu'il est réussi. Après, on peut ne pas adhérer à l'ambiance... J'en été très fan à 16 ans, un peu moins aujourd'hui.

l'est mort à la guerre son père ?

oui, c'est Eric Fletcher Waters (cité dans Final Cut) mort en 44 en Italie. L'obsession de la guerre, de l'oppression, de la dictature à du coup beaucoup de place dans les oeuvres de Waters

Ben de toute façon, The Wall est tres autobiographique pour Waters...

presque autant que Final Cut ! C'est le côté mégalo, il parle de lui constamment mais dans ces albums il n'utilise plus de parabole, c'est du direct. Enfin, je ne connais pas beaucoup d'artistes qui ne mettent pas d'eux-mêmes dans leurs chansons. Après, c'est l'épaisseur du voile qui varie.

Le passage central ou la batterie s'arrête est vraiment féérique

ah je vois, au pont d'Anzio...
mais the wall se rapprocherait plus à quelques détails près de Syd
Waters n'est pas devenu un légume que je sache

ah, tu vois the wall comme une allégorie à l'enfermement de Syd, c'est bien ça ? L'ode à Syd je la voyais plus dans Wish you were here. The wall c'est quand même la douleur de la perte du père durant la guerre. Après, je suis d'accord que la rock star qui se drogue et qui décroche ça rappelle Barrett. Mais bon, Waters, il n'a pas prendre que de l'aspirine et boire de l'eau.

ben en fait c'est pas directement en référence à qui que ce soit, waters l'a dit
mais cest vrai que le mec qui devient fou ça me fait plus penser à Syd
après y a le père mort à la guerre biensur...