Colonel Blues a écrit :
rapideyemove a écrit :
Colonel Blues a écrit :
Je tremble… Richard Clayderman et André Rieu arrivent !
Nuance, mesure, sobriété, culture, tact, tout y est...
Naaan, pas taper, c'est juste de l'humour, et tu connais mon sens de la mesure !
(et loin de moi l'idée de comparer Clayderman & Co avec Metheny ou Frisell, suis pas taré… mais je préfère ces derniers dans leur monde, ils y sont bien plus intéressants… )
😎
Et j’aime toujours autant Bill Frisell quand il vient nous rappeler quel est son "arrière-pays" (de la Country aux Beatles, en passant par Buddy Holly), l’enfance de sa relation à la musique, avec ce touché et ce phrasé que je trouve toujours uniques, et pas mal irremplaçables, pour tout dire.
Et, avec lui au moins, on reste aussi loin qu’il est possible du mercantilisme et de son spectacle de foire, gros de lieux communs musicaux et de pathétique à paillettes en soirée, après l’après-midi passée à la réunion Tupperware, ou Thermomix.
Mais, pas tapé, non, j’ai pas tapé
.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.