Sirupeux ?
De mon point de vue, s’il y a quelqu’un qui échappe à ce cadre, c’est bien Bill Frisell .
Cette manière de toucher les notes, entre rigueur absolue et incertitude presque timide .
Bon, de toute façon, j’ai les yeux de Chimène pour ce zouave-là...
PS : la grammaire Beatles version Booker T traverse fichtrement bien la rue de l’Abbaye .
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.