Mr Park a écrit :
Et pour l'ambiance de l'époque, le concert à Woodstock, qui à lui seul renvoie toutes les starlettes à leurs études:
Même si j'adore le hip-hop avec les boîtes à rythmes, le jeu de batterie de Quest Love est merveilleux de groove.
Là-bas, de l’autre côté de l’Océan, et dans ces années-là de l’autre Siècle, à part les grands noms déjà utilement rappelés (
Cypress Hill, The Roots, Eminem…), certains des autres "vieux ancêtres" méritent tout autant le détour, sans remonter nécessairement aux
Last Poets.
Comme ça, immédiatement, en espérant ne pas en avoir trop oublié en route, je songe toujours, vite fait mal fait, à conseiller ceux et celles que je ne dois pas être le seul à écouter encore
,
A Tribe Called Quest,
Wu–Tang Clan (et pas que pour Ghost Dog),
Arrested Development, Nas (les deux premiers albums, au moins
Illmatic),
The Pharcyde, Gang Starr et
Guru /
Jazzmatazz, Dr. Dre, Brooklyn Funk Essentials,
Mos Def, Queen Latifah, MC Lyte, Lauryn Hill et les Fugees, voire un peu plus récemment
Missy Elliott.
Et de l’autre côté du Channel,
Urban Species, ainsi que certains titres de
Massive Attack.
Déjà des classiques.
Et c’est pas plus mal.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.