olivier olmos a écrit :
sarssipius a écrit :
Pulsar :
Ah tiens un gaucher… Argh le coup du jazz fusion… C’est bon le jazz fusion mais il m’arrive fréquemment lorsque j’écoute des morceaux dans ce style d’être épaté par ce que les mecs vont chercher en particulier des thèmes/rythmiques complètement débridées, des soli ultra-inventifs et ne mâchons pas les mots virtuoses…Et puis bang un thème que je trouve cheesy à fond intercalé là-dedans comme si après tant de débauche et avant un nouveau déluge le dit fusionneur voulait se reposer
… Du coup c’est toujours en demi teinte que j’écoute ce style… Ce morceau ne déroge à ma règle
avec tout ce qu’elle a de positif et de négatif pour moi…J’accorde cependant que les passages cheesy (suivant mes critères de cheesytude evidemment) ne sont pas si nombreux…
Ca veut dire quoi Cheesy?
Je savais que tu me poserais la question
Cheesy en fait on y met un peu ce qu'on veut... Disons que tu peux piocher dans kitch, facile (dans le sens d'évident), mièvre (pas dans un sens péjoratif), un peu easy listening en somme...
En gros la mélodie tellement évidente (à l'oreille pas forcément à réaliser j'entends
) qu'elle surprend dans un morceau comme le tiens...
Ca m'a pas forcément fait ça sur ton morceau mais j'ai déjà écouté certains morceau (me demande pas de titre because là j'en ai pas forcément en tête) où le mec te balance un truc hallucinant (pas forcément un guitariste... Souvent les saxos savent être très cheesy voire plus que les gratteux) genre tu te dis
"Putain le mec il a été chercher cette mélodie dans le cul du diable" et bingo la seconde d'après il ta balance un truc qu'on croirait droit sorti d'un film de cul (tu sais la mélodie presque bateau) genre tu te dis
"Putain le mec il a été chercher cette mélodie dans le cul de Jenna Jameson"
En soit c'est pas très grave mais chez moi quand on me fait ce coup je décroche du morceau et j'ai les idées qui vagabondent du côté du cul d'une belle blonde
Façon de parler hin
J'espère que ce langage imagé ne choquera personne... Surtout Olivier... Parce que là on est vraiment dans le domaine du subjectif