Ou les trois micros–chant comme des étoiles, « Je n'avais plus qu'une piste pour la voix.»
Ou les trois claviers, le briefcase synth de Brian Eno (« the first cool sound I guess...beautiful.»), le Arp Solina String (« it's really cheesy, a very cheesy sound ») et le Mello Chamberlin (« it´s not a very good brass sound, but it's in the mix ! »).
Ou encore la recherche désespérée de la cowbell perdue, puis la trouvaille de la « metal reel » pour y suppléer, « and I took a drum stick or a fork, I can't remember, but...that's definitely me playing the tape flange ».
Des bouts de chandelle.
Trois fois rien.
Mister T. à l'éclairage.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.