David Watts a écrit :
Bonjour tristesse.
Nous restent ses disques et en ce qui me concerne, la chance et les souvenirs de l'avoir vu deux fois en concert, Full moon fever tour et Outside tour...
Je vais aller verser une larme en m'écoutant Hunky Dory...
Là, ce présent, sur la platine, le concert de Santa Monica en 1972, mon vieux bootleg original ramené comme une sainte relique, déjà, de Cleve', la boutique sur Euclid Av., il y a plus de quarante ans.
Là, take it easy, cool it down.
Ici, la guitare de Big Boy Mick...
Oui, ce double LP comme on disait au siècle passé.
Avec ce signe, une rencontre précoce, la première reprise que j'entendais de "I'm Waiting for my man" ou "the Man".
Avec "Jean Genie", "Andy Warhol", "La Mort/My Death".
Et Ziggy la poussière.
Avec d'autres signes, encore.
Et tout ce qui m'échappe.
Tout ce qui me revient. Qui me reste.
J'écoute.
L'enfance dure longtemps...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.