Oui voilà, c'est le sens que je voulais donner plus haut, on limitait les chanteurs alors qu'aujourd'hui, ils peuvent jouer de plusieurs techniques.
Pour Buckley, je vois tres bien ce dont tu parles, on peut aussi parler de la note tenue à la fin d'Hallelujah, mais je pense que ce n'est pas contraint, j'ai l'impression qu'il atteint parfois les mêmes hauteurs avec beaucoup de puissance: par exemple, sur le live à Chicago si tu connais, il pousse deux notes au milieu du pont de "dream brother", c'est d'une puissance ! Ou la fin de "grace", c'est aussi un bon exemple ...
Enfin, merci pour tes explications en tout cas, et pour le lien, je ne connaissais pas Andreas Scholl.