Vous et les livres...

J’ai un souci avec la lecture depuis que je me suis mis à la guitare. Je n’arrive plus à entamer un nouveau roman, ça me tombe des mains, l’attention ne suit pas.
Ma femme me dit que j’ai dû faire de nouvelles connexions neuronales, la concentration passe maintenant par un autre circuit. Un effet collatéral du travail de la musique en quelque sorte
Est-ce que ça vous est arrivé?

Ma femme me dit que j’ai dû faire de nouvelles connexions neuronales, la concentration passe maintenant par un autre circuit. Un effet collatéral du travail de la musique en quelque sorte
Est-ce que ça vous est arrivé?

ÉDIT : je reste poli pour pas me faire bannir, mais évite de me chercher, sinon on verra bien qui passe pour un con.

Personne vouée à une tâche surhumaine, à un labeur stérile ou qui semble ne pouvoir aboutir à rien de positif.
Un homme se façonne à son sort

Omniprésente dans les rues comme dans le débat public, la police soulève davantage de questions qu’elle ne semble pouvoir en résoudre. En mobilisant les études disponibles et en confrontant les chiffres, Paul Rocher réfute dans ce livre les présupposés au fondement du mythe policier d’une institution sans doute imparfaite mais nécessaire, au service de toute la société dont elle ne ferait que refléter les travers. Non, la police n’empêche pas le crime, et l’emprise policière croissante sur la société n’a pas d’autre fondement que la réorganisation autoritaire du pays et le maintien d’un ordre inégalitaire. Toute l’histoire de l’institution révèle sa nature violente, sa fidélité à l’ordre établi – et dément l’idée de son « dysfonctionnement ».

Peut-on pour autant se passer de police ? En s’inspirant des exemples sud-africain et nord-irlandais, où les habitants ont expérimenté des formes de gestion des conflits indépendantes de l’appareil d’État, Paul Rocher dégage les voies possibles d’un monde sans police.