Vous et les livres...

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Raphc
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Kreuzberg a écrit :
egaury a écrit :

De manière général c'est étonnant qu'il n'y ait eu aucune adaptation de ses livres, entre Ravage (un de mes livres favoris), le voyageur imprudent, une rose au paradis, y'a de quoi faire. (A ce sujet, j'ai l'impression que la série Revolution s'inspire légèrement de Ravage).


Aha, toi aussi tu es pour le retour à la terre et tu hais les mensonges qui nous ont fait tant de mal ?


Barjavel à scénarisé/dialoguisé (?) plein de film, dont les Don Camillo.
"Les chemins de Katmandou" est tiré d'un film aussi, la télé avait adapté "Le Grand Secret", c'était très très nul.
egaury
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Raphc a écrit :
Kreuzberg a écrit :
egaury a écrit :

De manière général c'est étonnant qu'il n'y ait eu aucune adaptation de ses livres, entre Ravage (un de mes livres favoris), le voyageur imprudent, une rose au paradis, y'a de quoi faire. (A ce sujet, j'ai l'impression que la série Revolution s'inspire légèrement de Ravage).


Aha, toi aussi tu es pour le retour à la terre et tu hais les mensonges qui nous ont fait tant de mal ?


Barjavel à scénarisé/dialoguisé (?) plein de film, dont les Don Camillo.
"Les chemins de Katmandou" est tiré d'un film aussi, la télé avait adapté "Le Grand Secret", c'était très très nul.


Surement qu'a l'époque, c'était pas faisable sans faire quelque chose de vraiment mauvais, série Z, mais aujourd'hui ça me parait tout à fait possible, encore que, ça dépend des moyens, ça doit pas etre évident de rentranscrire à l'écran le voyageur imprudent. Par contre, j'ai retrouvé un peu de l'ambiance et de l'univers que je m'étais fait de Ravage dans le film La Route. J'ai pas lu le bouquin donc c'est au roman de Barjavel que ce film m'a tout de suite fait penser.
Kunde
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Alors !

Au vu de ce que j'ai étudié je ne suis pas un spécialiste, vu que dans les grandes lignes, j'ai touché au droit, a l'économie, a la psychologie, a la sociologie, a l'histoire, au droit, et j'en passe.

Je ne prétends pas être exhaustif non plus, et d'être fin spécialiste de tout ses domaines, juste c'est pas vraiment ce que j'appel une pensée décomposée, en miette.

Ensuite jcomprends pas pourquoi ils ont un problème avec le fait d'enseigner le système, après tout comment veux tu déconstruire un truc proprement si tu ne connais pas sa structure ?
Même si le problème avec ce système c'est que même quand t'essayes de le déconstruire, il se régénère le salaud (il a tendance a se nourrir des critiques, en les incorporant a sa matrice).

Après je ne prétends pas a une vérité dans les sciences que j'ai étudié, d'ailleurs ça fait partie des trucs qu'on nous dit en 1ère année, en nous exposant les théories de quelques courants de penser sur certaines questions.

De plus je n'ai jamais adhérer au moindre syndicat d'étudiant vu le mépris que j'ai pour eux.

La seul fois ou j'ai vu un psy c'était parce que ma mère voulait me faire passer un test de QI, et j'avais 10 ans il me semble.
Depuis la seule fois ou j'ai vu des psy, c'était dans un cadre privé autour de quelques verres.

Sinon pour faire ce que jfais, j'ai pas vraiment choisi la bonne section, vu que jbosse dans la culture justement (qui se referre au passage sur la consommation en bien culturel, pour reprendre cette terminologie économique hideuse).

Bref ton texte ne trouve pas beaucoup d'écho en moi pour le moment.
Mise à part le paragraphe qui commence avant le titre "Il ne suffit pas que la pensée recherche sa réalisation, il faut que la réalité recherche la pensée".
Même si jsuis très loin de me considérer comme un grand révolutionnaire, d'ailleurs que le monde se démerde.
Sinon effectivement ya des points assez pertinents vu que jretrouve une partie de ma détestation de nanterre (chose que j'ai acté dés mon 1er post).

Sauf qu'ils font l'erreur de jetter le bébé avec l'eau du bain.

De toute façon c'est bien ce que jdisais, réfléxion par procuration ta réflexion sur le sujet est désincarnée vu que selon tes propres termes, tu n'as jamais foutu les pieds a l'université.

Je lirais la suite plus tard.
J'irai cracher sur vos tongs !
jules_albert
ces quelques lignes suffisent



Esclave stoïcien, l’étudiant se croit d’autant plus libre que toutes les chaînes de l’autorité le lient. Comme sa nouvelle famille, l’Université, il se prend pour l’être social le plus « autonome » alors qu’il relève directement et conjointement des deux systèmes les plus puissants de l’autorité sociale : la famille et l’Etat. Il est leur enfant rangé et reconnaissant. Suivant la même logique de l’enfant soumis, il participe à toutes les valeurs et mystifications du système, et les concentre en lui. Ce qui était illusions imposées aux employés devient idéologie intériorisée et véhiculée par la masse des futurs petits cadres.

Si la misère sociale ancienne a produit les systèmes de compensation les plus grandioses de l’histoire (les religions), la misère marginale étudiante n’a trouvé de consolation que dans les images les plus éculées de la société dominante la répétition burlesque de tous ses produits aliénés.

L’enseignement mécanique et spécialisé que l'étudiant reçoit est aussi profondément dégradé (par rapport à l’ancien niveau de la culture générale bourgeoise) que son propre niveau intellectuel au moment où il y accède, du seul fait que la réalité qui domine tout cela, le système économique, réclame une fabrication massive d’étudiants incultes et incapables de penser.

Que l’Université soit devenue une organisation – institutionnelle – de l’ignorance, que la « haute culture » elle-même se dissolve au rythme de la production en série des professeurs, que tous ces professeurs soient des crétins dont la plupart provoqueraient le chahut de n’importe quel public de lycée – l’étudiant l’ignore ; et il continue d’écouter respectueusement ses maîtres, avec la volonté consciente de perdre tout esprit critique afin de mieux communier dans l’illusion mystique d’être devenu un « étudiant », quelqu’un qui s’occupe sérieusement à apprendre un savoir sérieux, dans l’espoir qu’on lui confiera les vérités dernières.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
Kunde
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julio a écrit :
ces quelques lignes suffisent


Merci de valider ce que j'viens de dire j'ai pas l'impression que tu comprennes grand chose en fait.

Même si la thématique c'est déplacé, ça me rappel tes vautres quand tu parles de foot.
J'irai cracher sur vos tongs !
Drougy
  • Drougy
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jules_albert a écrit :
L’enseignement mécanique et spécialisé que l'étudiant reçoit est aussi profondément dégradé (par rapport à l’ancien niveau de la culture générale bourgeoise) que son propre niveau intellectuel au moment où il y accède, du seul fait que la réalité qui domine tout cela, le système économique, réclame une fabrication massive d’étudiants incultes et incapables de penser.


Continue s'il te plaît, j'entrevois de nouvelles limites à la stupidité. C'est fascinant.
"J'aime pas trop les voleurs et les fils de pute"
jules_albert
après avoir terminé les livres d'alessi dell'umbria, j'ai débuté la lecture du talon de fer de l'américain jack london qui précisément fait écho aux analyses de dell'umbria. c'est un roman d'anticipation vraiment extraordinaire : publié en 1908, il contient les événements qui allaient marquer la marche du monde jusqu'à aujourd'hui.

le livre se présente sous la forme d'un manuscrit censé avoir été écrit par avis everhard. il narre des événements débutant en 1912 et se termine en 1932 par une phrase inachevée. il est retrouvé quatre siècles plus tard, en 2368.
les vingt ans résumés dans ce manuscrit décrivent la mise en place du « talon de fer », dictature fasciste, aux états-unis et la résistance à cette mise en place. jack london décrit ce que pourrait être dans un avenir proche un capitalisme dirigé par une oligarchie qui aurait su, pressée par sa lutte contre-révolutionnaire, se libérer de toutes les entraves imposées par l'ancienne légalité démocratique-bourgeoise...

il y a un aspect de la domination oligarchique décrite par london qui n'était pas présent dans le fascisme, lequel voulait à l'inverse imposer l'apparence de l'unité sociale, mais qui prend aujourd'hui une importance cruciale : le rejet aux confins de la société de grandes masses de population qu'on laisse pourrir dans le dénuement matériel et psychologique.

ce "peuple de l'abîme", qui s'entasse dans les ghettos des villes américaines comme dans les bidonvilles du tiers-monde, mais aussi dans les "banlieues" françaises, a été jusqu'ici, en accord avec l'anticipation de jack london, condamné à des révoltes sporadiques et désespérées, tandis que de son côté l'oligarchie faisait "sortir l'ordre de la confusion" et établissait "ses fondations et ses assises sur la pourriture même."


critique du livre: http://littexpress.over-blog.n(...).html
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert
jules_albert a écrit :
voici un livre qui fait écho à l'abîme se repeuple de jaime semprun. alessi dell'umbria n’est ni sociologue ni journaliste. au début des années 1980, il participe à la première vague de révolte des banlieues. il assiste ensuite à sa défaite, à sa récupération et à la mise en place d’un véritable apartheid social.

ce livre incisif replace les événements de l’automne 2005 dans le contexte d’une désintégration sociale et d’un renforcement de l’état-léviathan. son propos dépasse d’emblée le faux débat opposant intégration républicaine et communautarisme religieux cher aux citoyennistes à la redstein.

la partie centrale de ce livre est parue en 2006, sous le titre C’est de la racaille, eh bien j’en suis !. alessi dell’umbria est également l’auteur d'une histoire universelle de marseille (agone, 2006) et de r.i.p. jacques mesrine.



les classes moyennes sous anesthésies chimique et cathodique montrent leur incompréhension de ces violences urbaines, ayant oublié jusqu’au simple souvenir de l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 24 juin 1793 qui reconnaît l’insurrection populaire comme « le plus sacré des droits, et le plus indispensable des devoirs ».

alessi dell’umbria, quant à lui, les observe comme des sursauts de vitalité : « seules les bandes de jeunes s’efforcent d’habiter là où l’on n’est autorisé qu’à se loger ». l’état abandonne son rôle économique et social et « ne justifie plus son autorité que par une “pornographie sécuritaire” destinée à masquer l’insécurité sociale qu’il a lui-même générée ». faute d’usines, le surplus des classes ouvrières sera canalisé vers les prisons sur la base de la tolérance zéro, une théorie inventée aux usa : une « supercherie intellectuelle » et une « escroquerie politique » invalidé par les faits mais payante électoralement.

les incendies de la banlieue ne posent pas la question des droits mais celle de la lutte sociale réelle. parce que les jeunes chômeurs-à-vie et précaires qui naissent et grandissent dans ces zones de relégation ne sont pas le résultat d’une injustice particulière mais la condition de fonctionnement d’un pays capitaliste avancé. vingt ans après la défaite de la première vague de contestation dans les banlieues pauvres, la dislocation sociale a progressé, l’exclusion s’est faite plus radicale et la misère culturelle et politique sans limites. les jeunes révoltés sont l’encombrant produit de cette dislocation.



je voudrais revenir sur le livre d'alessi dell'umbria qui est remarquable. en voici deux passages formidables qui éclairent bien la situation :

Depuis 1981, on n'a pas cessé de parler du "problème de l'intégration" à propos des enfants d'immigrés nés en France. Maintenant la question de l'intégration ne se pose plus pour la simple raison que nous assistons à la désintégration accélérée de tout lien social. Dans ces conditions, ce que l'on appelle "intégration" se réduit au simple fait de se faire transparent et inoffensif.

Là où existe encore un sentiment de filiation (avec un lieu, un corps professionnel, une ethnie) l'État bute sur des résistances. La logique de ce pouvoir souverain étatique est de dissoudre tout lien direct entre les individus afin de ne laisser subsister que l'individu isolé. L'État parvient à ce résultat à force de déplacer, déraciner et déporter les personnes, les transformant par exemple en habitants de la "banlieue" parisienne. Ce n'est qu'en atomisant les individus que l'État peut s'imposer entre eux comme médiation universelle. Lorsque la capacité de construire des médiations ne repose plus qu'entre les mains de l'État, les relations entre individus acquièrent un caractère immédiat qui débouche sur la guerre de tous contre tous tel que décrit par Hobbes : c'est la société civile bourgeoise qui ne laisse pas subsister d'autre médiation entre les hommes que l'argent et qui érige l'intérêt privé en norme. Ainsi, cette société qui s'autodétruit en permanence nécessite l'intervention régulatrice de l'État.

Une fois ce processus d'atomisation mené à bien, il reste les institutions, l'édifice de l'État, les frontières politiques dont la finalité première et ultime est de contrôler et soumettre les masses solitaires au moyen du système disciplinaire. Soumission acceptée en échange de la protection. Même la révolte de l'automne 2005, par son caractère désespéré et furieux renforce le corps étatique défenseur, le discours totalitaire du Léviathan policier car celui-ci trouve sa réalisation pleine dans l'état d'exception : c'est là que le concept d'État confirme son essence.

Les trois dernières décennies ont vu la banalisation de cet état d'exception à mesure que la thématique rebattue à l'infini de l'insécurité offrait le décor émotionnel indispensable. La courbe ascendante des effectifs et des moyens policiers paraît illimitée. La dérive vers un état d'exception permanent est contenu dans le concept même de souveraineté étatique, et cette tendance englobe depuis longtemps tous les pays occidentaux. Dans le cas français, on commence à faire appel aux assassins d'élite du GIGN contre des grévistes un peu trop récalcitrants (ce fut le cas à Bègles et à Marseille en 2005).

[...]

La République fonctionne selon les mêmes canons que l'illusion religieuse : de même que tous les chrétiens étaient égaux face à Dieu, tous les citoyens sont égaux face à la loi. Cette égalité se matérialise lors des journées électorales, dans l'isoloir : en République, c'est l'isolement de l'individu qui fait de lui un citoyen. La simple addition de tous ces individus isolés lors des élections est ce qui constitue la République : dit d'une autre façon, la fondation de la communauté abstraite de la politique est fondée sur la désintégration de toute communauté concrète.

Ainsi, nous n'aurons même pas échappé aux sempiternels discours citoyennistes, car après deux semaines d'émeutes, l'humoriste Djamel Debbouze incitait les jeunes à s'inscrire sur les listes électorales. En France, tout s'achève par des élections. On a mis fin au soulèvement de Mai 68 par une consultation électorale... ¿ Ne serait-il pas un étrange résultat de la révolte de 2005 que d'avoir à choisir en 2007 entre Fabius et Mamère, entre Royal et Buffet afin de faire barrage à Sarkozy ?

Mais quelle élection mettra un terme à la désintégration urbaine et rurale, à la misère psychologique et culturelle, à la manipulation médiatique des masses solitaires, à l'exploitation de plus en plus brutale de la main-d'oeuvre, à l'exode et au déracinement mondial des individus, à la falsification industrielle de l'air que nous respirons, de l'eau que nous buvons et des aliments que nous mangeons ?

Les Debbouze et consorts qui ont réussi au sein de la société française se situent dans la perspective d'une upper middle class bronzée et noire, d'une beurgeoisie. « Au-delà des mots, il faut passer aux actes » déclarait Joey Starr en brandissant sa carte d'électeur à l'occasion d'une concentration citoyenniste. Dix ans auparavant, le même Joey Starr, au cours d'un concert qui avait marqué les mémoires, avait incité les jeunes à attaquer la police. Mais voilà que lorsque ceux-ci passent aux actes, il n'a rien d'autre à leur proposer que d'aller faire un tour dans l'isoloir. Quelle inversion de la réalité ! Les actes ont déjà eu lieu, dans la rue. Ce sont les mots qui manquent ou qui travaillent contre la révolte. Qui plus est, voter n'est pas un acte, c'est une délégation de pouvoir, de même que réduire l'énergie d'une révolte à la simple participation à un scrutin électoral c'est tenter de la court-circuiter.

La comédie citoyenniste (téléguidée par les charognards de SOS-Racisme, du PS et du PC) désarticule l'énergie de la révolte, dispersant la voix collective des jeunes exclus en bulletins de vote qui abandonnent leur seule force (celle de la communication directe entre eux) pour une délégation de pouvoir en faveur des professionnels de la parole politique. Il s'agit donc pour les citoyennistes, bien plus que de barrer le passage à Sarkozy, de mater la révolte des jeunes.

En 1981, un arriviste de la pire espèce est parvenu à prendre le pouvoir en utilisant un slogan de Mai 68 : "changer la vie". Faut-il encore être surpris par la "dépolitisation" de la jeunesse après avoir vu les prouesses de ce candidat élu et réélu ? Peut-être que cette jeunesse a compris que la vie ne se change pas à coup de décisions gouvernementales, mais concrétement, au jour le jour, au travers d'actes autonomes et collectifs. Le vote, acte individuel effectué dans l'isoloir, qui délègue le pouvoir d'agir à d'autres, n'engage à rien.

Tandis que la révolte engage à tout...



revue de presse sur le livre d'alessi dell'umbria: http://atheles.org/agone/eleme(...).html
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jules_albert
gros Kunde a écrit :
julio a écrit :
ces quelques lignes suffisent


Merci de valider ce que j'viens de dire j'ai pas l'impression que tu comprennes grand chose en fait.


euh, franchement, au vu de ta syntaxe défaillante et de tes petites phrases suffisantes mais creuses, ton commentaire tombe à plat. d'ailleurs, une syntaxe défaillante s'accompagne toujours de raisonnements erronés. encore que dans ton cas, parler de "raisonnements erronés" est déjà un éloge, car on serait bien en peine de trouver la trace du moindre raisonnement, qu'il soit juste ou faux.

essaye donc de gagner la champions league au lieu de nous bassiner avec tes pseudo-analyses footballistiques dont même un thierry rolland bourré au pastaga aurait eu honte.

j'en profite pour te remercier d'avoir encore une fois confirmé ce que je te disais hier:
Citation:
si tu es un bourgeois, ce n'est guère étonnant que tu trouves antipathiques les idées et les livres dont je parle sur ce topic...
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La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
Kunde
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julio a écrit :
car on serait bien en peine de trouver la trace du moindre raisonnement, qu'il soit juste ou faux.


Venant d'un mec qui ne raisonne pas par lui même, et qui n'a pas l'air de comprendre ce qu'il lis (et ce même si c'est intelligible) vu qu'il répond systématiquement à côté.
C'est un honneur ! Si c'est tout ce que t'as trouvé pour éluder ce que jte dis ça me va.

julio a écrit :
si tu es un bourgeois, ce n'est guère étonnant que tu trouves antipathiques les idées et les livres dont je parle sur ce topic...


Sauf que je n'ai jamais écris antipathique.
J'ai dis que ca ne trouvais pas d'écho en moi par rapport au fait que je ne vois pas l'ombre d'une critique virulente à mon égard.
Mais ça tu l'aurais compris si t'avais vu le petit développement juste avant.

Sur ton texte sur l'université j'ai même écris qu'il y a des points qui faisait partie de ma détestation de ce lieu.
Sauf qu'a la base je dis juste que tu m'rappels ce genre de mec, et ensuite tu parts completement en couille.

Bref !
C'est bien les poses julio, cependant on voit tous que c'est completement creux.

Pour le foot désolé si tu vie dans une caverne.
J'irai cracher sur vos tongs !
jules_albert
quel fatras insensé ! ressaisis-toi kunde... si tu en as encore les moyens. j'en doute au vu d'où tu viens et vers où tu vas..
il faudra également penser à ranger walter benjamin dans les personnes qui ne raisonnent pas par elle-même car, vois-tu, il ambitionnait de faire un livre uniquement composé de citations...

pour ce qui est du foot, on ne peut pas en parler longtemps sans tomber dans l'imbécilité... c'est une des choses que tu n'as pas compris.
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Tout ce que jconstate c'est que tu fais appel à la forme pour éluder tout ce que jdis, bref c'est très creux et ca ne m'étonne pas vraiment.

Surtout qu'au niveau des moyens tu viens aussi d'un milieu extremement bourgeois, si jme rappel bien de l'affaire de la ferrari, ou t'as fait un vieux caprice de sale gosse auprès de ton pater.
C'est mignon que tu ne t'assumes pas.

julio a écrit :
pour ce qui est du foot, on ne peut pas en parler longtemps sans tomber dans l'imbécilité... c'est une des choses que tu n'as pas compris.


Encore une fois tu présumes de beaucoup de chose et ca me fait d'autant plus marrer quand jme rappel de tes participations de fanboy.
J'irai cracher sur vos tongs !
SharkFood
Pour en revenir au sujet du topic :

Je me replonge là dedans, 15 ans après la dernière fois où je l'ai lu :



Ils en ont parlé dernièrement car cette histoire a 30 ans.
Le film (années 90) était (comme la plupart des adaptations de livres) plus que raté.
Je le recommande, non pas que ce soit de la grande littérature, mais l'histoire est prenante.

Résumé :
Le drame de la cordillère des Andes est l'accident du vol Uruguayan Air force flight 571, survenu le 13 octobre 1972, qui s'est écrasé dans les Andes, et auquel une partie des 45 occupants de l'appareil a survécu, après être restés isolés pendant 72 jours.

Il y a 2 histoires dans l'histoire, l'une côté des survivants, et l'autre centrée sur les familles de ces personnes disparues et la débauche d'énergie pour organiser des recherches.
La modération vous a bloqué sur ce sujet pour non respect de la charte du forum.
Nous vous remercions de votre compréhension.
L'équipe de modération de Guitariste.com.
straoul
SharkFood a écrit :
Pour en revenir au sujet du topic :

Je me replonge là dedans, 15 ans après la dernière fois où je l'ai lu :



Ils en ont parlé dernièrement car cette histoire a 30 ans.
Le film (années 90) était (comme la plupart des adaptations de livres) plus que raté.
Je le recommande, non pas que ce soit de la grande littérature, mais l'histoire est prenante.

Résumé :
Le drame de la cordillère des Andes est l'accident du vol Uruguayan Air force flight 571, survenu le 13 octobre 1972, qui s'est écrasé dans les Andes, et auquel une partie des 45 occupants de l'appareil a survécu, après être restés isolés pendant 72 jours.

Il y a 2 histoires dans l'histoire, l'une côté des survivants, et l'autre centrée sur les familles de ces personnes disparues et la débauche d'énergie pour organiser des recherches.


Cà fait même 40 ans maintenant ...
Je crois que dans mon entourage on a ce livre, on m'a dit que c'était fort ...
Il faudra que je lise.

C'est dommage, souvent les adaptations cinéma ne sont pas à la hauteur.
Je n'ai toujours pas regardé le film Into The Wild, on me l'a déconseillé ... J'avais été un peu secoué par le livre ...
Le Heyd
On t'a déconseillé Into The Wild? C'est bien l'exception qui confirme la règle, le film est très beau!

En ce moment sur backstage...