La Mirabelle de Joseph Cartron est en effet assez envoûtante.
Mais bue, finie, razziée depuis presque un mois.
Il me reste encore une Poire Williams de chez lui, comme un besoin de consolation impossible à rassasier
.
Le Kappelweg de Rorschwihr de Rolly Gassmann est, avec une régularité confondante, un très grand Gewurz.
Cela dit, je ne le connais pas en 2015.
Autrement, hier, en compagnie de deux vieilles connaissances à table, un de mes derniers Léoville Poyferré de 1993 (24 bouteilles achetées 65 francs l’unité en 1996
!) et un Cornas "La Roche" 2009, de J.L. Colombo.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.