Oui, Mister K, for your benefit, c’était un peu l’idée, saisie ici dans un même alphabet latin, donc super fastoche au clavier qui nous reste dans et par la nouvelle mouture de Geai Dot Com.
Disons aussi, en renvoyant l’alpha-beta à ses chères études, et en traduisant le traître (puisque la tradition nous enseigne que chaque traducteur en est un) :
Écriture de l’ombre :
voilà ce que c’était que d’être !
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.