Les faits d'actualité.

Et pourtant, les gens se précipitent aux meetings politiques, certains font mêmes des dons aux candidats (comme en Amérique...).
Le livre de NS était en tête des livres de la rentrée....devant les plus grandes plumes...

Il serait bon de s'interroger sur cette violence envers les ambulanciers, les infirmiers ou docteurs ?
Egalement les pompiers, mais j'ai entendu, me semble-t-il, que dans les "quartiers" les pompiers étaient considérés comme représentant de l'Etat donc "indésirables".

Je me répète mais il faudrait vraiment comprendre le pourquoi du comment de tout cette violence.

Pourquoi ?

Parce que ce sont des abrutis qui veulent dicter leur loi,
s'ils foutent le feu à un truc il ne veulent pas qu'on éteigne ce feu,
si le feu prend dans son appartement cage à lapin il ira foutre le feu à autre chose parce que les pompiers n'ont pas réussi à sauver sa PS4....

-> Cayenne.

Education (au sens large) civique (au sens premier) défaillante + urbanisme inhumain + ghettoïsation.

C'est ce genre de victimisation permanente des petits caïds qui fait monter le FN

Tu parles de qui de Backstage?

C'est toi qui parle de victime.
Je ne pense que rechercher des explications (et elles sont évidentes depuis longtemps).

Balancer de la merde sur g.com c'est son truc ...

Faire chier et aller chialer apres a Laurent aussi.

On tire pas sur les ambulances, Jasmina

Si (à l'occasion, c'est très rare) des pompiers ou ambulanciers se font caillasser dans des quartiers mal famés, c'est tout simplement car en cas d'intervention ils doivent prévenir les flics de tout comportement "suspect" (rassemblement de personnes, stups,...). Ils se font d'ailleurs tout autant caillasser dans les festivals de musique pour les mêmes raisons (à Dour j'ai vu une ambulance se faire retourner littéralement), mais là, étrangement, ça ne fait pas monter Marine. Peut-être ne victimise-t-on pas assez les festivaliers?

La majorité des gamins de banlieue ne caillasse pas les pompiers/policiers.

Faut avoir un fond particulièrement mauvais pour balancer un parpaing sur la tronche de quelqu'un sachant que tu peux le tuer, ou mettre le feu à une bagnole.

Ce que je relève dans ta phrase c'est "la faute des autres" en mettant en avant la ghettoïsation et l'urbanisme.

Il y a des cultures qui sont violentes ET excusées. C'est le cas dans les banlieues. Et avant d'être traité de facho ... c'est la même chose en Corse.

Avec la victoire des nationalistes aux dernières élections tous les indépendantistes, petits délinquants politisés ... se sentent pousser des ailes.

Il y a une culture de la violence en Corse, et elle est excusée, encouragée, idéalisée. Par exemple, récemment il y a eu le procès de 3 nationalistes. Pour moi ce sont des délinquants qui méritaient la tôle. Et bien pour mes politiques ce sont des héros (et ils influencent la jeunesse).

Ils ont eu des manifs de soutien, les lycéens ont bloqués leurs lycées, on a eu des banderoles à tout va, l'organisation de concert ...

Tout ça pour dire qu'en Corse on ne souffre pas vraiment de ghettoïsation ni d'urbanisme sauvage mais de connerie excusée par la population, encouragée par des meneurs nationalistes.

L'état n'est pas plus courageux car il cède, fait des compromis, ne poursuis pas certains manifestants.

Il met de l'argent sur du culturel identitaire à la con qui fait vivre une poignée de personnes même pas reconnaissantes. Au lieu d'argent pour la langue corse et des écomusées à la noix je préférerai de l'industrie, des cours particuliers d'anglais pour les gamins ...

Dans les banlieues, c'est la même chose. Une culture de la violence contre les policiers, l'état, les femmes, les faibles (genre tabasser un mec à mort car il a refusé une priorité sur la route) et la majorité ferme les yeux par peur, les personnes en dehors de ce système les excusent, l'état cède.

Le chomage baisse ....????

Oui enfin presque !!!

" Mais les bons résultats de septembre, comme les mauvais d’août, ne sont pas uniquement dus à la conjoncture. Depuis le début de l’année, le nombre de jours ouvrés pendant lesquels les chômeurs doivent actualiser leur situation est devenu variable. Résultat : le nombre de personnes désinscrites pour « défaut d’actualisation » fluctue d’un mois sur l’autre, jouant tantôt à la hausse tantôt à la baisse sur les chiffres mensuels de Pôle emploi.

En septembre, 238.900 personnes ont quitté Pôle emploi pour ce motif, soit 66.500 de plus qu’en août et autant de personnes en moins sur les listes. En revanche, le plan de former 500.000 chômeurs ne semble pas avoir eu d’effet sur les chiffres ce mois-ci, car la catégorie D de Pôle emploi, où sont répertoriés les demandeurs d’emploi en formation, est restée quasi stable (-0,2 %). "

Non le caillassage c'est fréquent dans certains quartiers, même les éboueurs se font allumer, tout ce qui représente l'état, le système social complètement rejeté, ce qui vient de l'extérieur de la cité est perçu comme un corps étranger, et pas uniquement parce que ça gène le business.
J'ai travaillé à la Fauconnière de Villiers le Bel, un quartier de grands ensembles sorti de nulle part pour parquer les immigrés et les pauvres, je ne sais pas ce que les architectes et les urbanistes avaient dans le crâne quand ils ont construit ça, il y a une seule entrée/sortie, on a l'impression de passer une frontière physique quand on y entre, c'est un territoire complétement isolé du reste de la ville. Pour que ma voiture ne soit pas braquée et que je puisse y circuler sans problème, la ville a été obligée de dealer avec les caïds locaux qui gèrent la paix sociale du quartier plus que la police.

Vous pouvez doubler les effectifs de flics, les équiper de karchers ou de fusils de guerre, ré-ouvrir des bagnes, ça ne changera rien au problème. L'Etat a construit ces trucs pour déplacer un problème, il a ensuite détourné les yeux et abandonné ces territoires pendant des décennies, ces territoires se sont organisés sans l'Etat, il n'en veulent plus et c'est la loi de la jungle et la délinquance aux mains d'une minorité violente qui tiennent les lieux.

Faire un parallèle avec la violence du nationalisme corse ça n'a pas vraiment de sens, les causes de la violence ne sont pas les mêmes. C'est d'ailleurs le fond du problème, tant qu'on s'attaquera plus aux conséquences de la violence qu'à ses causes, on avancera pas beaucoup.

Un autre quartier abandonné par l'Etat, pas loin de Paris.

http://www.streetpress.com/suj(...)reuil

Bon je suis globalement d'accord.
Je voudrais faire remarquer qu'il peut y avoir aussi collusion entre des groupes "révolutionnaires" (au sens large) et des groupes marginaux et délinquants. Les uns nourrissant les autres de leur motivation et vice-versa.

C'est peut être la situation en Corse (à une échelle relativement faible). mais l'exemple le plus récent, à grande échelle , ce sont les groupes islamistes radicaux qui utilise le milieu délinquant pour recruter des fous furieux.

Rien ne va plus pour Masha et Lord Riff

http://www.lemonde.fr/politiqu(...).html