Les faits d'actualité.

C'est peut-être le contraire aujourd'hui et sa ressemble à ce que tu décris aujourd'hui. Mais ça ne l'était pas du tout jusqu'à pas si loin. Et même si je connais moins bien le Moyen-orient après 2003, je pense que ta description est vraiment très caricaturale. «ces pays» tu parles de quels pays précisément?

Pas tant que ça, y'a qu'a voir ce que sont devenu les espoirs des "printemps arabes" , les envies de liberté, d'égalité, de justice, tout ce qui s'est finalement pas mal confronté à la morale religieuse islamique, première à s'imposer dès qu'il s'agit d'aller coucher les statues de dictateurs, s'imposant en gardiens de la bonne moralité.

C'est moins important que monokini ou burkini.

Oui, oui. Y en avait une cinquantaine sur place qui ont attendu que ça se passe !

Je sais pas... d'un côté le tafta c'est la Démocratie écorchée, mais de l'autre, le burkini c'est la République qu'on assassine. Alors...

http://www.unidivers.fr/oceans(...)tion/

On peut polluer alors?

Je pars en vacances à la mer la semaine prochaine. Ça peut attendre mon retour SVP ?

(ps. l'article a l'air intéressant. Je lirai ce soir)

Ne bois pas la tasse.

Il serait raciste s'il avait viré deux arabes non voilées. Ici ce sont des religieuses qu'il met dehors. Ce qui est tout à fait détestable, je ne dis pas que le mec à raison (par contre je peux comprendre qu'il soit un peu remonté en ce moment). Je pense que si les deux femmes avaient été bien blanches, françaises de souche portant le voile, il aurait eu la même réaction.
Peut être que le gars est également raciste comme il semble le dire, mais ce n'est pas la cause de l'exclusion. On n'aurait pas manqué de signaler si le gars avait l'habitude d'exclure des personnes un peu bronzées.
Confondre musulman et arabe ou noir, c'est quand même ingénu. Il y a des non maghrébens musulmans et des maghrébens non musulmans.
Pour un journaliste c'est soit un manque de compétence, soit de la malhonnêteté intellectuelle.
Et c'est les mêmes qui nous rebattent les oreilles avec "pas d'amalgame". Il est beau l'amalgame là...
Il faut être précis dans les mots pour garder une certaine objectivité quand on est journaliste.
Aujourd'hui tu est vite classé dans une catégorie quand tu émet une opinion. Si tu es musulman, tu es terroriste, si tu hais les musulmans tu es raciste et ainsi de suite.
Ce qui arrange bien les communautaristes, qui peuvent ranger ceux qui ne le sont pas dans une catégorie et donc une communauté.
Aujourd'hui,ne pas être communautariste, c'est être laïcard, et donc c'est assimilé à une forme de communautarisme, ce qui est évidemment une défense efficace de la part des communautaristes qui eux ne prônent que l'égalité entre les communautés hein (ils ne considèrent pas leur communauté comme étant supérieure aux autres, bien sûr )
Il faut lire le contenu des idéologies, elles sont fréquemment fachistes et détestent tout ce qui ne leurs font pas allégeance.
Le défi de notre civilisation, c'est de réussir à ne pas faire de l'absence d'idéologie une idéologie, ce qui est très difficile et très mal engagé.
Si nous pouvions réussir cela, nous aurions une valeur forte sur laquelle s'appuyer et notre société pourrait retrouver une certaine virilité sans sombrer dans l'autoritarisme.

"11 000
Le nombre de micro-plastiques qu’ingère chaque année un gros consommateur de moules. Parmi ces particules, soixante restent dans le corps en traversant les tissus des parois intestinales. Leur possible nocivité est en cours d’examen."

Bah il y a une telle sur-médiatisation des polémiques (souvent ce sont des micros évènements montés en épingle) liés à l'islam que ça n'est pas très étonnant, avec en plus le terrorisme, que certains commencent a péter les plombs comme le mec du resto.

Et ça a commencé avant les attentats, le voile, la viande halal, les prières de rue, le ramadan, les pains au chocolat, le menu des cantines, les minarets, le financement des mosquées, les jupes longues etc... On est quand même dans un pays ou des histoires de burkini ou de pain au chocolat ont une plus grosse couverture médiatique que la crise économique, l'évasion fiscale, le chômage ou une catastrophe naturelle.
Visiblement quand on voit le nombre de couvertures, d'édito, de unes consacrés à l'islam, ça fait vendre les journaux et ça fait de l'audience et c'est pareil en politique avec d'un coté un populisme identitaire planqué derrière des pseudos valeurs républicaines, et de l'autre un soutient à des coutumes obscurantistes planqué derrière des pseudos valeurs de liberté et de défense des plus faibles.
Avec ça pas étonnant que les gens se replient sur eux mêmes et dans leur communauté.

en fait chacun interprete ses libertés comme il l'entend quitte a marcher sur les pieds des autres avec la conviction d'avoir raison.

Peut être que ces broutilles sont révélatrices d'un sentiment de certains: celui d'être envahis.

Ce sentiment d'envahissement, il est peut être aussi lié à ce projeteur médiatique toujours braqué sur les mêmes polémiques et au populisme des politiques. Mais surtout au fait que la majorité des gens de culture musulmane (qui sont principalement des immigrés des anciennes colonies) ont été concentrés sur les mêmes territoires qui concentraient déjà des problèmes sociaux.
Il ne faut pas oublier que les vagues d'immigrations des années 60 et 70 ont été appuyées par les grandes entreprises et les syndicats patronaux (Bouygues par exemple avait jusqu'au milieu des années 80 un personnel constitué de plus de 80% d'immigrés et il a appuyé le regroupement familial). Ces gens là ont fait fortune avec cette main d'œuvre corvéable et bon marché, et maintenant qu'ils n'en ont plus besoin, ils ont laissé pourrir socialement les familles et banlieues qu'ils ont contribué a créer.

Les commentaires en disent long !


http://www.msn.com/fr-fr/actua(...)=iehp

J'aurais tendance à penser qu'on est entré dans un "jeu" malsain typique d'une relation toxique entre deux personnes, qui déborde sur leur entourage qui aimerait bien qu'on lui foute la paix : toutes ces (petites) histoires sont en effet véhiculées vers le plus grand nombre comme si c'était la chose la plus importante au monde, alors que ça ne devrait pas.
En fait, je trouve la société française anxiogène, stressée, mal dans sa peau, et ce tous bords politiques confondus : il faut en permanence se justifier, subir le regard de travers du voisin qui donne l'impression qu'on va lui bouffer sa tartine, et c'est encore plus criant quand on revient de quelques jours à l'étranger.
Là, tout de suite, je me dis que ce que j'ai vu à Amsterdam me donne envie d'aller y vivre, alors qu'à priori ce n'était pas du tout le cas. Revenir d'une semaine de contact avec les gens là-bas et replonger dans les news françaises et les sempiternelles ritournelles communautaires, c'est juste déprimant.