Born to run a écrit :
Je vais vous avouer un truc:
Je n'ai jamais fait l'amour avec une capote.
J'ai cette chance.
La pilule, c'est bien pratique, c'est confortable.
Enfin, surtout pour nous, les hommes!
Passke franchement, c'est qui qui se fait chier à la prendre tous les matins? à grands renforts de "Putain! Où est-ce que j'ai fourré cette putain de pilule de merde!"...
Bobonne.
Et c'est qui qui doit se piquer un sprint façon Marion Jones (de la grande époque) vers les toilettes pendant qu'un filet de s....e lui coule entre les cuisses à grands renforts de "Putain! Tu m'en a mis partout!"...
Bononne.
?:
Les filles? Des candidates?
C'est ce que je racontait plus haut (mais avec plus de classe).
Perso j'ai eu une tres mauvaise expérience de ma première fois sans capote. Je sortais avec une fille de militaire (pas un "chie dans l'eau" hein.. Un vrai de vrai, des troupes de marines de l'armée de terre !) et quand j'allais chez eux, je dormais dans le garage (aménagé quand meme) parceque "c'est pas un baisodrome ici !!"
Donc mademoiselle se mettait tout juste à la pillule (c'est à dire qu'elle sortait de sa semaine d'indisposition) pile le jour ou je leur rend visite.
Au petit matin, les parents s'absentent faire les courses, elle me rejoint discretos dans le lit. Gros calin, "woaah c'est trop bon, wouhou!" puis un petit somme en amoureux.
Les parents rentrent des courses, on saute du lit et là, HORREUR ! Une énorme tache rouge/marron sur le lit ! Et impossible de plaider le saignement de nez vus l'emplacement de la tache.
Bref vous voyez les vaudeville ou la femme cache l'amant dans le placard pendant que le mari est rentré ? Ben c'etait exactement ça, on a monté discretement les draps à la salle de bain, elle les a lavé pendant qu'elle prennait une fausse douche. Puis on a redescendu le tout encore discretement, direct dans la machine, en jettant des serviettes mouillées dedans pour justifier la flotte sur les draps.
J'ai cus que j'allais mourrir...
Moralité : ne sortez pas avec des filles de militaire (ou alors des hauts gradés)
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969