quantat a écrit :
Ce qui veut dire qu'à moins d'être scientifique spécialisé, le consommateur moyen comme moi n'a aucun moyen de faire la différence entre un produit sain et un produit bio arrosé aux poisons naturels ...
Il y a des associations de consommateurs, des associations de protection de la nature, indépendantes des lobbys de producteurs qui font ce travail de déchiffrage pour toi, en employant des experts. C'est vrai que ce n'est pas simple, que l'erreur est possible, mais ce n'est pas parce qu'il y a des abus, des erreurs que rien n'est vrai.
il y a par exemple ça, pour la Suisse:
https://www.frc.ch/wp-content/(...)r.pdf
Ensuite, pour certains produits, tu commences à connaître les producteurs, tu en parles avec ton boucher, tu localises leurs installations, tu peux accorder ta confiance à certaines filières, certains labels. De fil en aiguille tu en apprends un peu plus sur les produits, ce qu'il faut éviter, tu te rapproches des producteurs ou des importateurs, tu deviens un peu plus informés sur ce que tu manges mais aussi sur les limites de ta connaissance.
Pousser dans une direction ne signifie pas être sûr à 100% que c'est la bonne. Mais ne rien faire signifie que tu es à peu près certain d'aller dans la mauvaise direction
C'est marrant parce que j'ai vraiment l'impression que tu nous reproches ce qui constitue TON problème: tu attends tellement une perfection et une justesse impossible à atteindre que tu abandonnes, et que tu ne vois pas que des améliorations sectorielles et relatives sont possibles au quotidien, par petits pas. On n'attends pas le "dimanche de la vie", on le réalise un peu, de façon infime mais bien réelle, à chaque repas.
Vous battez pas, je vous aime tous