Biosmog a écrit :
Brûler ne dégage pas "énormément" de CO2!
Ben si.
Biosmog a écrit :
Cela dégage rien de plus et rien de moins que le CO2 qui était piégé
On dégage en quelques secondes le CO2 qui a pris plusieurs décennies à être "piégé"
Biosmog a écrit :
qui se serait libéré inévitablement à plus ou moins long terme.
Hm, envoyer en quelque secondes ce qui aurait pris des décennies à être dégagé, on appelle ça "dégager énormément de CO2"
Biosmog a écrit :
Le bois en putréfaction dégage autant de CO2.
Ah non pas du tout, sauf si on triche sur le temps, par exemple : brûler une bûche dégage autant de CO2 que si on avait attendu 30 ans que l'arbre meurt et 20 ans qu'il soit putréfié (chiffres au pif, je l'avoue)
En quelques secondes, on dégage ce que la nature aurait mis un demi-siècle à dégager.
Biosmog a écrit :
Il faut simplement considérer les processus: s'il y a autant de bois qui pousse que de bois qui brûle, l'équilibre est établi.
C'est oublier qu'un problème majeur ainsi qu'un des plus grands défis actuel et pour longtemps, c'est le réchauffement climatique, on envoie tout confondu énormément de CO2 : les arbres qu'on plante actuellement absorbent du CO2, si on annule cet effet en en brûlant autant, ben ça participe au déséquilibre.
En terme de rejet de CO2, jamais on ne sera à l'équilibre, donc brûler du bois n'est pas une solution, quels que soient les arguments, les concepts, les tours de passe-passe, ça participe au déséquilibre.
(En plus j'ai les preuves que tes grands-parents ont coupé beaucoup de bois, l'ont brûlé et même du charbon, causant à eux tout seuls la plus grande catastrophe écologique que la Terre ait jamais connu...)