Blow Up a écrit :
Il faut arrêter, c'est pas de la caricature (contrairement à son maitre graphique Gottlieb) Marsault, c'est de la politique.
C'est marrant de grossir le trait, de ridiculiser les tartuffes. Mais là c'est vraiment trop lourdingue, orienté et premier degré, et surtout c'est toujours pareil et pauvre dans le ressort "comique" : un avorton antifa, déconstruit, lgbt etc... shooté par un mec un vrai qui à le "bon sens" populaire d'un ancien béret rouge de l'OAS.
"l'œuvre" de Marsault, c'est une sorte de grosse moisissure argumentaire (la référence fécale plus haut est parlante) toujours sur le même principe. Le moins drôle, c'est le manque de l'autodérision, c'est assez caractéristique chez les gens d'extrême droite, ils sont incapables de se moquer d'eux mêmes et de leur camp.
Camille (puisque c'est son prénom d'enfant de prof d'histoire-géo de gauche) on sent qu'il a des problèmes familiaux encrés à régler et avec les fams aussi, pour radoter autant autour de sa paire de burnes. (sauf quand il se retrouve face à des vrais antifas qui exploseraient ce boxeur en carton en même pas un round, là il appelle les flics et son avocat la teub entre les jambes
)
J'ai lu un de ses recueils, et j'avoue que sur la longueur c'est lourdingue de mon point de vue
Maintenant il y a des pépites, comme le détournement vachard de Tintin posté plus haut
Marsault c'est donc pour moi sympa à très petites doses.