casseoreille a écrit :
En fait,
chacun fait son choix pas systématiquement en fonction de ses ressources, mais de ses propres convictions et ambitions pour ses enfants.
Non pas chacun, ceux qui en ont les moyens. Et encore parmi eux, la question ne doit souvent pas se poser.
Les enfants d'origine sociale défavorisée sont de plus en plus présents dans le public, tandis que ceux issus de familles favorisées représentent plus d'un tiers du privé en 2012, (en 84 c'était 1/4).
Ne parlons même pas des grandes écoles qui sont surpeuplées de gosses qui y sont poussés. L'enseignement "en renfort" accentue ça, et même en études de médecine (pour ceux qui ne sont pas à la page, parce qu'on en croise beaucoup). C'est fini depuis un certain temps le fameux concours de médecine exigeant mais qui a le mérite de mettre chacun sur un pied d'égalité : il y a les bénéficiaires de cours privés conçus pour ça (supexam, etc.) à côté (à la louche je dirait 1/4 ? c'est de l'observation.), et les autres.