bienew a écrit :
Par contre pour les grecs c'est tout bon, tant qu'ils trouvent des pigeons pour leur prêter, ils auraient tort de s'en priver.
T'as pas compris que le passager clandestin de l'Europe c'était l'Allemagne ?
Alors oui la Grèce a triché, etc, etc, … Mais t'as pas remarqué que tous les pays s'effondraient sauf l'Allemagne. Bizarre non ? Maintenant que la BCE lance un assouplissement monétaire sans leur consentement (Q.E.) ils préfèrent siffler la fin de la partie. Ils n'ont pas l'intention de partager, ce qui était pourtant le but de la monnaie unique.
Ça confirme ce que j'avais lu par ailleurs : soit la Grèce sort, soit l'Allemagne sort.
Pour des raisons historiques elle a tout intérêt à ne pas être responsable de la désintégration de la zone euro. En poussant la Grèce vers la sortie elle a encore l'espoir de faire un exemple : l'Europe est allemande ou l'Europe n'est pas.
Da ?
Mais comme l'a dit Fxdfxd la Grèce pourrait se relever plus vite qu'on ne l'imagine : débarrasée de sa dette elle emprunterait aux chinois et aux russes démontrant ainsi qu'on ne doit pas faire QUE de l'austérité. (>> un membre de l'OTAN dans le giron russe… ça ne ferait pas plaisir aux américains ça).
Varoufakis ne souhaite pas la fin de l'euro parce que c'est d'après lui la seule alternative crédible à la domination du dollars. D'autres comme Obama pensent au que l'euro est le denier rempart au dollars : sa disparition amènerait les marchés financiers à se tourner vers … la dette américaine. Là le problème deviendrait un peu plus 'épineux'.
Mais au fait, c'est pas Obama qui a demandé aux européens d'aider la Grèce récemment ?
Voilà, sinon tu peux resté avec la version TF1 : Tout est la faute aux grecs !
Méchant grecs !
Bad kebabs !