L'égalité hommes-femmes

Voilà

Ce n’est pas vrai. La religion catholique prend particulièrement soin des relations homosexuelles




de préférence entre un curé et un enfant de cœur

On dirait un petit accent espagnol.

Typhaine Dee elle est vraiment intéressante parfois (je l'ai connue "en vrai"), mais sa soif de reconnaissance sur les réseaux sociaux a bouffé tout son intérêt, c'est dommage. A la base, ses réflexions sur le langage étaient très intéressantes, c'était marrant de voir tous ces mecs pleurer parce qu'elle changeait 3 mots.

Oui, ça pourrait presque être charmante sans ce côté versaillaise très prononcée



Lien.ne.s, samples

C est mignon et énervant à la fois

Elle a raison sur la masculinisation du français il y a trois ou quatre siècles.

https://www.liberation.fr/deba(...)6078/

Le livre est divisé en trois parties. Les deux premières («La langue française n'a pas besoin d'être féminisée» et «La masculinisation du français») dressent un constat ahurissant pour les profanes, dont je suis : dès le Moyen Age, la langue française disposait de tout l'arsenal nécessaire, grammaire et vocabulaire, pour exprimer très équitablement le féminin et le masculin. Soit par recours à des mots épicènes (commun aux deux genres comme enfant, mécène, ministre…), soit que les noms de métiers ou d'activités, par exemple, existent déjà au féminin : archière, cervoisière, coffrière, ferronne, heaulmière, mairesse, maréchale, portière, jongleresse, chevaleresse, moinesse, doctoresse, chirurgienne, et bien sûr médecine. Même le bourreau avait son équivalent, la bourrelle ! Une ambassadrice était une «dame envoyée en ambassade» - et non la femme d'un ambassadeur, acception inventée sous on ne sait quel prétexte par l'Académie. Jean de Marconville parle de Jeanne d'Arc «la pucelle, victrice des ennemis du nom Gaulois», Brantôme de la duchesse de Montpensier comme d'une «grande femme d'Etat». Plus stupéfiant, écrivaine et autrice, qui heurtent tant certaines oreilles contemporaines, sont attestées depuis belle lurette : on retrouve dans les archives la trace d'une certaine «Jeanne l'écrivaine», scribe qualifiée ; Marguerite d'Autriche se plaît à rappeler à son neveu Charles Quint qu'on lui écrit en tant qu'«autrice de paix». La grammaire n'est pas en reste. L'accord de proximité, hérité du latin, qui consiste à pratiquer l'accord avec le dernier terme prononcé ou écrit, était monnaie courante. Pierre Nicole, dans son traité De l'éducation d'un prince (1670) parle de «ces pères et ces mères qui font profession d'être chrétiennes» (et non chrétiens). Cet accord «à l'oreille» permet d'ailleurs de choisir à loisir, et cette souplesse est à souligner : «ces hommes et ces femmes sont belles» ou «ces femmes et ces hommes sont beaux». Si bien qu'Eliane Viennot est en droit de dire : «Nous n'avons pas à modifier notre langue, mais à renouer avec ses logiques, en nous appuyant sur ses ressources.»

Et si tu n'as pas la flemme tu peux écrire "les étudiantes et les les étudiants "par exemple au lieu de te servir de l'écriture inclusive. Ecriture inclusive qui pour le coup sert plutôt un certain entre soi pour des gens qui aiment bien se reconnaitre entre eux.

Arf, j'ai la flemme de chercher. En vrai elle est (était) super, si on passe par-dessus la forme qui peut rebuter, le fond est passionnant, elle a beaucoup de culture. Le problème, comme je le disais, c'est que son ego a complètement pris le dessus.

Sympa le lien Red

Fif: pas d'accord. L'écriture inclusive je trouve ça moche, mais ça permet de remettre 50% de la population à égalité linguistique sans trop d'effort. Parce qu'en fait, on s'y fait très vite.

Je ne suis pas fan de l'écriture inclusive, mais à petite dose, elle a son utilité.

Et je revendique la paternité (oops) du pronom « toustes »

J'approuve. La féminisation des substantifs, c'est très bien, et nécessaire. L'écriture inclusive, c'est juste pénible à lire. Puis c'est un gadget qui permet d'éviter de vraiment se poser la question de la transformation de la langue. Perso je suis pour la mise en place d'un genre neutre comme il existe dans plein d'autres langues, à commencer par le latin dont est issu notre chère langue française.

Moi j aime bien ce côté absurde de sexer des objets, ça n a aucun sens. Être logique comme des allemands c est d un chiant...

Sauf que le génie de la langue a été violé par des phallocrates

(Voir article ci-dessus.)

Pourquoi on dit "un hom", "une fam", mais "une personne" ?

C'est sexiste