ZePot a écrit :
Redstein a écrit :
Il s'agit en somme de leur f... la paix parce qu'ils n'appartiennent qu'à eux-mêmes (ce qui - je vous vois venir - ne signifie pas se laisser envahir/boulotter par eux).
Mais les animaux d'élevage n'ont pas d'existence en dehors de l'activité humaine, sans laquelle ils n'existeraient tout simplement pas
Si tu leur "fous la paix", ils meurent...
Et si tu ne leur fous pas la paix... Ils meurent aussi
La différence : ils se reproduisent d'abord, ce qui perpétue le cercle vicieux de la torture et des massacres.
Que les animaux d'élevage (dont on ne voit de toute façon jamais la majorité que sous forme de pièces détachées) disparaissent, ce n'est pas un problème : c'est même le but ! À quoi bon vivre des existences aussi misérables ?
ZePot a écrit :
Si j'ai bien compris Redstein, la question ne se pose pas. Il refuse de tuer, point. Peu importe si on doit de ce fait manger de la merde ou arrêter de développer des médicaments.
Manger de la merde ? C'est tout le contraire : on en mange beaucoup moins quand on a renoncé à bouffer du cadavre !
Pour les médicament, il s'agit moins de tuer que de torturer (avant de tuer, évidemment), et cela sans le moindre contrôle.
Du coup on n'a aucune idée de l'intérêt des expérimentations qui sont faites et qui ne dépendent que des lubies d'un chercheur/labo ou de ses sponsors.
Conviens qu'il y aurait moyen au moins de limiter grandement les dégâts... Un bon pas a d'ailleurs été franchi avec l'interdiction en 2013 de la commercialisation dans l'UE de produits cosmétiques ayant été testés sur des animaux.
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'
http://fermons-les-abattoirs.org
- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)