Biosmog a écrit :
Fannysissy a écrit :
Biosmog a écrit :
T'es sérieux? Tu comptes mettre de côté 1500 balles par mois pendant dix ans pour avoir des chèvres
Déjà, il n'y a rien de moins rock'n'roll que d'économiser
*chèvres, chèvres, chèvres *)
J'ai pris l'option inverse: je ne bosse pas pour gagner de l'argent, mais par passion. J'ai maintenant passé 40 balais et je n'ai encore jamais bossé alimentairement sur une longue période (la dernière fois, c'était un 20% dans l'enseignement, en 2006). En d'autres termes, je travaille peu et comme je peux, donc je suis pauvre, donc je ne mets rien de côté...
Si j'avais plein de fric, je continuerais à faire ce que je fais mais d'une façon encore plus détachée du soucis pécuniaires: écrire et faire de la musique.
Ouais, c'est une manière de faire aussi
Pour l'instant je suis jeune et j'ai un job qui me plaît, dans une boîte qui me plaît avec plein d'avantages divers et variés, j'espère en profiter un maximum.
Mais j'ai vraiment une putin de bonne place. quand ya du travail c'est ultra intéressant. Et cet après midi, vu que c'est très calme, j'ai pu commencer à me fabriquer un tonebender.
Ya pire comme job
Je m'imagine mal vivre en bossant peu. C'est rigolo au début mais après ça me fait chier.
Et pis si je suis pas cadré un minimum, je me défonce le gueule constamment, alors bon ...
Et contrairement à toi et à beaucoup d'autres ici, la musique et les concerts ne sont qu'une petite partie de ma vie. Ce n'est pas mon hobby principale non plus. Je n'ai jamais écrit de musique et n'en écrirais jamais.
A vrai dire, depuis une année j'ai l'impression que je m'éloigne de plus en plus de ce monde et qu'en dehors des répètes et des concerts je n'ai plus envie d'empoigner ma gratte.
concrètement, à part le jeu (jeu de société, jeu vidéo, etc ) je n'ai pas de loisir. La musique comme je la fais actuellement tient plus d'un travail que d'un hobby.
C'est peut-être aussi pour ça que j'aime bien travailler et que je rêve de m'acheter une ferme. Comme ça je serai garanti d'avoir du job jusqu'à ma mort