Citation:
Quant à moi, j'ai eu ces chiffres sous les yeux de première main, à l'époque où se discutait au Sénat, avec des professionels, les détails de la loi sur l'obligation de soins qui a finalement été votée en juin 98.
Il y a une étude plus récente sur la récidive, dont je connais aussi les détails. Il n'en reste pas moins que les critères retenus ne sont pas super fiables, contrairement aux études nord américaines ou aux études menées par l'administration pénitentiaire française.
Citation:
Eh bien ce sont des conneries. C'est une population avec laquelle il est particulièrement difficile de travailler, donc ça rebute pas mal de professionnels qui n'ont pas fait la démarche de se former à ce travail particulier. Mais ça ne veut en aucun cas dire que rien n'est faisable.
Vu de l'extérieur, tout est impossible. Moi, les autistes, c'est pas mon rayon de prédilection. Si on me demande, je dirai que je ne sais pas s'il est possible de venir en aide à un enfant autiste. Pourtant, des psys le font et s'en sortent très bien.
Il existe aujourd'hui toute une population qui prend en charge les auteurs de violences sexuelles, qui écrit sur la question. Invalider leur travail par méconnaissance est, de la part de ces psychiatres que tu cites, un aveu d'impuissance.
Hélas, les psychiatres dont je parle sont des spécialistes de la question.
Le problème de la psychiatrie est qu'elle n'est pas une science exacte. Un psy ne peut pas dire à 100% si un mec est dangereux, ni si un enfant dit la vérité.
Je ne dis pas qu'ils ne peuvent rien faire. Mais quel est le pourcentage d'échec? On en sait rien.
De même, j'ai un cousin autiste. Un psy pourra l'aider, mais il restera toujours autiste.
Question : la paranoïa se guérit-elle, ou trouve-t-on simplement des médicaments qui en atténuent les effets? Exemple parmi d'autres.
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"Si mon père m'avait offert la stimulation orale homosexuelle à laquelle j'avais droit à six ans, je n'aurais jamais pris de LSD sans sa permission, comme la plupart des gens."
Herbert Mullin