Faire des enfants, pour ou contre ?

Hé oh, je ne suis pas belge moi, Dieu m'en préserve d'ailleurs.

J'ai travaillé dans une boîte rachetée par des Flamands, et depuis je trouve ce peuple et ce pays absolument détestables. Sans parler de leur langue qui ressemble plus à une maladie de gorge ou à une bruyante éructation. L'inuit, l'arabe et l'hébreu, c'est du velours à côté.
Les Wallons ont le bénéfice du doute. Notamment parce que c'est le peuple qui a le plus d'humour, avec les Anglais.

Ceux qui ont un physique difficile ont souvent beaucoup d'humour

c'est drôle ça!

On appelle ça un Thon alors.



Tu parles des Flamands, pas des Belges (noble peuple du sud de la Belgique).

2 en moyenne par femme pour perpétuer la race humaine
sinon la surpopulation engendrera les pollutions,
le manque d'eau, le manque de place, le manque de nourriture, les maladies, les guerres et l'extinction des humains. "kids are all right" deviendront "children of the grave" !

Bah moi j'aimais bcp la Flandres suite à une année passée à Courtrai où tout s'est très bien passé.

Mais plus le temps passe, plus j'ai du mal et plus je doute de leur honnêteté intellectuelle vis à vis de la Wallonie.

Ce qui est clair, c'est que la Belgique c'est trois pays en un. Bruxelles c'est quelque chose aussi dans le genre.

Par contre en ce qui concerne les Franssés, il y a une unité.

Tous chauvins et imbus de vous même, le seul truc qui change c'est les accents, de "risible à "donne envie de se pendre "

je rigole bien sûr.

en revanche toi tu dois être bellâtre!

Un seul mot : Charleroi

Ceux qui y ont déjà été le savent... On ne peut pas décemment constituer un pays sur la base d'une ville comme Charleroi.

Très cohérent tout ça.
Comment ça se passe quand on veut allumer un ampli à lampes dans les Yvelines, on fait une demande en mairie et on met un mot d'excuse sur les boites à lettres des voisins l'avant-veille ?

Pas d'amalgames s'il vous plait entre belge et flamand

20 ans, ça se fête. voilà la citation complète qui rejoint la critique anti-industrielle (l'abîme se repeuple, etc.) :

« Les enfants, quant à eux, étaient la transmission d’un état, de règles et d’un patrimoine. C’était bien entendu le cas dans les couches féodales, mais aussi chez les commerçants, les paysans, les artisans, dans toutes les classes de la société en fait. Aujourd’hui, tout cela n’existe plus : je suis salarié, je suis locataire, je n’ai rien à transmettre à mon fils. Je n’ai aucun métier à lui apprendre, je ne sais même pas ce qu’il pourra faire plus tard ; les règles que j’ai connues ne seront de toute façon plus valables pour lui, il vivra dans un autre univers. Accepter l’idéologie du changement continuel c’est accepter que la vie d’un homme soit strictement réduite à son existence, et que les générations passées et futures n’aient plus aucune importance à ses yeux. C’est ainsi que nous vivons, et avoir un enfant, aujourd’hui, n’a plus aucun sens pour un homme.

Le cas des femmes est différent, car elles continuent à éprouver le besoin d’avoir un être à aimer – ce qui n’est pas, ce qui n’a jamais été le cas des hommes. Il est faux de prétendre que les hommes ont eux aussi besoin de pouponner, de jouer avec leurs enfants, de leur faire des câlins.
On a beau le répéter depuis des années, ça reste faux. Une fois qu’on a divorcé, que le cadre familial a été brisé, les relations avec ses enfants perdent tout sens.

L’enfant c’est le piège qui s’est refermé, c’est l’ennemi qu’on va devoir continuer à entretenir, et qui va vous survivre.''

les particules élémentaires, page 210

Amis de l'essentialisme, bonjour