Zorzi a écrit :
"… Un cafard abject ! Un sycophore glaireux !"
Boris (joué par Francis Blanche dans Les Barbouzes)
Raphc a écrit :
rapideyemove a écrit :
Oui, mieux vaut prier pour le Déluge que pour la canaille. C’est un bien meilleur abri, un plus sûr refuge.
Disons
Gimme shelter ou
«J'étais en oraison...», comme nous en avertissait Francis Blanche, dans
Les Barbouzes, lisant avec scrupule et componction
L’Osservatore Romano, le P38 à la main et le chapelet en sautoir.
Blier, pas Blanche.
Oui, vous avez raison, mon enthousiasme m’avait distrait, égaré, tout au plaisir folâtre de mettre un mot devant l’autre :
«C’est curieux, chez les marins, ce besoin de faire des phrases.».
Et, cette fois-ci, c’est bien Blanche qui s’y colle.
Puis, diable, Blier, Blanche, ma mauvaise foi me souffle que j’avais bon sur les deux premières lettres.
Et entre deux gilets noirs, l’un du Vatican, l’autre de la Loubianka, il n’y a pas des kilomètres, non ?
Bon, j’ai reçu l’absolution, le Saint Chrême voire l’ Extrême-Onction ?
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.