Allez, j'y vais de mon couplet habituel mélange subtil d'Onfrayisme et de Beigbeideieries...
GuitarBizNess a écrit :
Qui a trompé trompera... on y prend vite gout.
Le plus dur ce sont les mensonges qui vont avec tout ça...
Déjà je te trouve que dans ses deux petites phrases résident tous les problèmes. Prendre goût à quoi ? A une sexualité multiple dans le plaisir ? Mais, à part Benoit 16 et le Père Noël, qui n'y prendrai pas gout ?
Le mensonge que tu évoques est surtout le premier de dire au maire ou au curé "Juré Craché, la vie de ma Reum, je désire que la fille à côté habillé comme une meringue".
Ca c'est du mensonge !
GuitarBizNess a écrit :
Pour mon cas, c'était un manque d'attention, de sexe, de feeling,... tout ce qui est parti avec le temps.
Pourtant, au fond de moi, je l'aime la mère de mon gamin, mais notre relation a fini par se résumer à des disputes ou conflits incessants..
Et une fois de plus, j'appuie sur le "Je l'aime MAIS..." Phrase ignoble. Soit on est en phase avec quelqu'un et les difficultés du quotidien se surmontent, soit on se fait chier et on envisage la relation autrement. Gamin ou pas, pavillon ou pas, clébard malade ou pas...
GuitarBizNess a écrit :
Je suis donc parti vivre avec ma maitresse, j'ai essayé, mais je suis vite revenu auprès de mon gamin et de sa mère... à MA place.
Ta place ? Mais décidé par qui ? Par ta position de père ? On peut élever des enfants, aimer des enfants sans habiter avec leur père ou mère. Sinon je serais un tueur en série récidiviste... (Ce que je ne suis pas, hein, au cas ou vous douteriez...)
GuitarBizNess a écrit :
Et personellement, égoistement, j'avoue que le fait de jouer "une double vie", même si c'est trés compliqué, ça me redonne "l'impression de vivre".
Une sorte de piment... alors oui, pour la "bonne morale", c'est pas bien... c'est mal... mais l'idée première n'est pas de faire mal à qui que ce soit.
Ca s'appelle prendre du plaisir dans sa vie et la bonne morale évoqué dans notre pays s'inspire du mec en slip accroché au clou et de ses sbires qui prétendent qu'il faut souffrir pour s'ouvrir les portes du ciel, alors que pour les neuneus c'est open bar !
Tu n'as fait du mal que parce qu'au début tu as dit à la génitrice "Chérie, c'est toi l'unique".
Et elle, élevée dans la tradition "prince charmant" s'est dit : Youpi !!! Mettons notre utérus en position démoulage...
GuitarBizNess a écrit :
Et si moi aussi je suis cocu, je m'en fouts, l'important c'est que je ne me prenne pas la tête avec ça... Parce que dans la pratique, la vie de tous les jours, ça ne change rien, c'est surtout dans la théorie que c'est génant.
(heu... je sais pas si vous voyez ce que je veux dire)
Disons que Madame va voir ailleurs et que tu as différencié votre intimité, votre cellule familiale et votre sexualité.
Un grand pas pour l'avenir. Après tout on est pas obligé de coucher et de vivre qu'avec la mère de ses enfants.
Le Lutin "fragments du discours amoureux pour les nuls"
P.S : Et Georges Clooney, il est pas beau, il est CLASSE ! Et c'est mieux !