Actualité politique / Règles en page 1

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Brigido
Biosmog a écrit :
Brigido a écrit :
Le problème des rhétoriques "le programme, rien que le programme", c'est que personne n'y croit


J'arrête là. On appelle ça "programme" car tout le monde sait que ce sera négocié: ce n'est pas un "plan", une "politique", etc... C'est un "programme".
Car comment peux-tu prendre quelqu'un au sérieux, s'il te présente le résultat de la négociation avant même d'avoir négocié? s'il te dit: "on demande le SMIC à tant, mais en fait on ne le demandera pas" ? Je ne sais pas, essaie d'imaginer ça avec une autre orientation politique, ce sera peut-être plus facile pour toi.
Avec Cliclac, vous faites une belle équipe


Mélenchon n'a t-il pas déclaré : "Le Nouveau Front populaire appliquera son programme. Rien que son programme, mais tout son programme" ?

Tout ça ce sont des postures politiques qui lassent les pragmatiques comme moi.
Si tu veux de l'efficacité, déja tu reconnais qu'avec 180 députés tu ne peux rien faire. Ensuite tu annonces que tu devras nécessairement faire des coalitions. Ensuite tu proposes ton programme comme base évidemment, mais en adoptant une posture d'ouverture sans équivoque.
Aujourd'hui les macronistes et même les LR annoncent pouvoir travailler à gauche, jusqu'aux communistes...
La vérité, c'est que LFI doit sortir de l'équation pour que les choses avancent. LFI ne veut travailler avec personne et personne ne veut travailler avec LFI. La solution est donc simple, c'est un éclatement rapide du NFP pour s'affranchir du pouvoir de nuisance de LFI. C'est certainement ce qui va arriver, et c'est tant mieux.
Du Blues, de la Soul, une touche de Jazz, un zeste de Rock, une pincée de Folk, un doigt de Country...
cliclac
J’ai mis trop ambitieux en gras parce que ca l’est dans le contexte actuel, même Pikety et d'autres économistes proches de LFI l'ont reconnu.
Quand aux journalistes c’est facile pour eux de faire du buzz, ce qui est devenu leur but effectivement, face à des politiques ancrés dans leur radicalité, quoi de plus simple de les mettre face a leurs contradictions.
Plus grand monde ne croit au grand soir ou au lendemain qui chante à part 2/3 ici on dirait, un peu de parler vrai serait pas mal
Blow Up
Bisomog, tu lui passeras bien le bonjour.
Et qu'il y reste en Suisse, plus personne n'a envie de le revoir en France.

"Macron est de gauche" BluesBarbu le 20/02/2021
Kandide
gatestoavalon a écrit :
On dirait un "la mort ou chi chi".
La mort oui ! Mais Chi chi d'abord !

PEACE & LOVE
Biosmog
  • Biosmog
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Blow Up a écrit :
Bisomog, tu lui passeras bien le bonjour.
Et qu'il y reste en Suisse, plus personne n'a envie de le revoir en France.


Sur La Côte, où je réside, c'est le lieux de villégiature de toutes les plus grosses enflures expatriées de France, mais aussi d'ailleurs. Donc aucune surprise.

Par contre, je sais que l'EPFL est vraiment devenue une haute école immonde, dont le melon a gonflé proportionnellement à ses classements internationaux, mais je serais vraiment surpris qu'il y enseigne. En tout cas, jusqu'à récemment, ils avaient encore une dignité dans le recrutement des profs.

https://www.watson.ch/fr/suiss(...)sanne
Vous battez pas, je vous aime tous
Brigido
Un article du nouvel obs ci-dessous, qui résume bien le naufrage du NFP.
(Lemaire en Suisse on s'en tape, c'est du buzz, c'est pas ça qui va changer le destin du pays).


Décryptage Stratégies divergentes, règlements de comptes… Les deux principaux rivaux du Nouveau Front populaire se disputent le leadership à gauche. Au risque de l’implosion.

En cette veille de 14-Juillet, il souffle comme un air de mini-tempête au siège du Parti socialiste (PS) à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Il est midi et le conseil national qui rassemble près de 300 parlementaires et cadres en visioconférence n’a toujours pas débuté. En cause alors : la difficulté d’arrêter une position commune concernant la candidature pour Matignon d’Huguette Bello, présidente de La Réunion, suggérée par les partenaires du Nouveau Front populaire (NFP). Depuis sa victoire à l’arraché au second tour des élections législatives le 7 juillet, la gauche se déchire sur l’identité du ou de la cheffe de gouvernement à soumettre à Emmanuel Macron. Mardi, celui-ci a appelé son camp à proposer « une coalition majoritaire » ou « un large pacte législatif ». Une façon de mettre la pression ? Faute d’avoir choisi son leader et défini sa méthode de désignation au moment de la campagne, le NFP se retrouve de son côté coincé par son indécision, chacun abattant ses cartes en espérant ramasser la mise.

Dans cette partie de poker menteur, socialistes et insoumis tentent à tour de rôle de prendre l’avantage en isolant l’autre. Après l’échec de la proposition Bello, ce sont les socialistes qui dégainent, lundi 15 au soir, leur carte « société civile » avec la candidature de l’experte du climat Laurence Tubiana. A 73 ans, cette économiste, universitaire et diplomate a été en 2015 l’architecte de l’accord de Paris signé à l’issue de la COP21, avant de coprésider la convention citoyenne pour le climat. Mais la proposition est aussitôt déclinée par Manuel Bompard, député et négociateur de La France insoumise (LFI). « Pas sérieux », tranche-t-il mardi matin, la jugeant trop « Macron-­compatible ». « Les insoumis ne peuvent pas s’imposer à tous les autres », rétorque quelques minutes plus tard Olivier Faure. L’impasse paraît totale. Et l’implosion, proche.

Oukases de part et d’autre, tweets assassins… Même s’ils s’accrochent à leur union au sein du NFP, socialistes et insoumis n’en finissent pas de régler de vieux comptes alors qu’ils prétendent gouverner ensemble. Alliées par nécessité au soir de la dissolution, les deux forces divergent à la fois quant à la stratégie, la manière d’appliquer leur programme et, au fond, leur vision de ce que devrait être le retour de la gauche au pouvoir… Même à propos d’un simple nom, ils ne parviennent pas à s’entendre, alimentant ainsi le procès en incapacité à gouverner lancé par le Rassemblement national (RN), la macronie et la droite. Lorsque les communistes mettent sur la table le nom d’Huguette Bello, une idée approuvée par Jean-Luc Mélenchon qui est proche de la Réunionnaise, les socialistes voient rouge. « Cette candidature, c’est le choix de ceux qui ne veulent pas gouverner », confie un cadre du parti, pour qui le symbole – une femme, des outre-mer, certes rassembleuse mais ex-­communiste proche de LFI – ne plaira pas au chef de l’Etat ni aux oppositions parlementaires.

Pour éviter de se voir imposer cette solution, Olivier Faure propose alors un vote des élus NFP sur deux CV : celui de la présidente de l’exécutif réunionnais et le sien. Cette consultation, les insoumis n’en veulent pas. Ils assurent que le patron du PS s’est engagé lors d’une interview à désigner le candidat pour Matignon dans le groupe majoritaire, donc chez eux. Faux, rétorquent les socialistes, qui assurent avoir toujours défendu le principe d’un vote. Mais qui pour y participer ? Aux députés, Faure souhaite ajouter les sénateurs. Pratique : les insoumis n’en comptent aucun et les socialistes… 64. De quoi grossir leurs rangs. Et, surtout, faire sortir de leurs gonds Manuel Bompard et ses amis, pour qui la ficelle est grosse.

Ultimatum des insoumis
A 17h45 ce samedi 13 juillet, le conseil national du PS démarre enfin. Ses membres choisissent de dire « non » à Bello et de camper sur le choix de Faure pour Matignon. « Pour nous, c’est toi », affirment même ses deux opposants internes Hélène Geoffroy, la maire de Vaulx-en-Velin, et l’édile de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol. En fin politique, Faure sait pourtant que le piège risque de se refermer sur les socialistes, accusés de tout faire capoter. Il envoie des textos à la secrétaire nationale des Ecologistes Marine Tondelier, qui, elle aussi, consulte ses instances. Elle n’est pas hostile à une candidature de la Réunionnaise, qu’elle ne connaît pas, mais, surtout, elle a de plus en plus de mal à supporter la tendance des « grands frères » socialistes à penser à la place des Verts. En fin de compte, Huguette Bello tire d’elle-même les conséquences du blocage et se retire de la course, provoquant une première suspension des discussions. Les insoumis posent alors un ultimatum : un nom unique sous l’étiquette NFP à l’élection du président de l’Assemblée le 18 juillet. Un test pour voir la capacité de la gauche à s’accorder. Eux ne revendiquent pas le poste, préférant jouer le coup d’après. S’il revient à un socialiste, alors ce sera aux insoumis d’adouber le Premier ministre…

Sauf que les deux frères ennemis n’ont pas du tout le même rapport au pouvoir. « Le but de LFI n’est pas de diriger longtemps, mais quelques jours ou semaines à peine, le temps d’annoncer des mesures fortes et de se faire renverser, décrypte un bon connaisseur de la gauche. Dès lors, ils auront gagné en légitimité et ce sera tapis rouge pour Mélenchon en 2027 ou avant ! » A un gouvernement insoumis en mode coup d’éclat, assis sur un siège éjectable, le PS oppose la volonté de bâtir une coalition crédible, acceptable par Emmanuel Macron et capable de faire des compromis pour durer, même si c’est juste un CDD. Radicalité et pureté d’un côté, culture de gouvernement et compromis de l’autre. « Les insoumis ont-ils vraiment envie que la gauche soit aux responsabilités ? s’interroge ainsi la présidente du conseil national du PS Hélène Geoffroy. J’en doute ! Le président ne refusera pas de nommer un socialiste. Un insoumis, si. » Beaucoup de députés macronistes sont même allés plus loin : si des LFI sont au gouvernement, à Beauvau, Bercy ou ailleurs, ils promettent, comme le RN et la droite, de les renverser.

Mais à ce principe de réalité, LFI oppose un tout autre narratif : celui d’un PS « jupitérien » refusant tout profil qui n’est pas issu de ses rangs et surtout prompt à pactiser avec le chef de l’Etat. « Nous avons proposé quatre noms [Jean-Luc Mélenchon, Clémence Guetté, Mathilde Panot, Manuel Bompard, NDLR], tous balayés par le PS sans aucune explication, s’impatiente Paul Vannier, négociateur LFI. Si le blocage vient de quelqu’un, c’est du PS. Rien ne justifie cette prétention hégémonique si ce n’est des logiques d’appareil, certains étant prêts à brader notre programme pour trouver une majorité avec les macronistes. »

Un récit décliné sans relâche par la garde rapprochée de Mélenchon sur les réseaux sociaux. En flingueuse professionnelle, la députée Sophia Chikirou accuse Faure, sur X, de « vouloir faire une coalition avec des macronistes pour [s]’assurer un poste au gouvernement », quand bien même ce dernier jure le contraire. Cette proche du leader insoumis prône même l’éradication des sociaux-démocrates, dans un tweet violent : « Le hollandisme, c’est comme les punaises de lit : tu as employé les grands moyens pour t’en débarrasser, tu y as cru quelque temps et tu as repris une vie saine (à gauche) mais en quelques semaines, ça gratte à nouveau et ça sort de partout… Il va falloir recommencer ! »

Les insoumis mettent aussi la pression en appelant à des rassemblements. Samedi 13 juillet, le siège du PS est couvert d’affichettes « Bello à Matignon », « Olivier déconne pas », « Vive l’unité ». « On s’est piégés tout seul, se désole un socialiste. On négocie entre partis, sans les deux jambes du NFP, Ruffin et Glucksmann. » Ces deux figures, écartées des discussions, ont les faveurs de l’opinion et auraient pu séduire jusqu’à une partie de la macronie. Sondée par Nicolas Mayer-Rossignol, l’ancienne Première ministre Elisabeth Borne, députée du Calvados, a ainsi confié qu’elle n’aurait pas mis son veto à un François Ruffin au ministère du Travail ou des Solidarités…

Les ennuis n’arrivant jamais seuls, au PS, les divisions mises sous le tapis au nom de l’union ne demandent qu’à se réveiller. Dans le bras de fer avec les insoumis, certains perçoivent une limite de la stratégie d’Olivier Faure, accusé d’avoir trop cédé à Jean-Luc Mélenchon ces dernières années et de ne plus être capable de s’affranchir de son encombrant allié. « Faure, il n’a de fort que le nom, attaque un conseiller. Au lendemain du score de Glucksmann, il aurait pu dire : on fait d’abord le Front populaire avec les écolos et les frondeurs insoumis, Ruffin, Autain, Corbière. Il aurait tué LFI et Jean-Luc Mélenchon. Mais il a préféré des calculs boutiquiers de court terme pour sauver sa peau. A chaque tour, Jean-Luc se renforce encore plus que lui. »

Le tribun, qui n’était pas candidat à l’Assemblée nationale, se réservant pour de futures présidentielles, continue en effet de donner le la, assurant dès 20 heures, le soir du second tour, que son mouvement ne gouvernerait que pour appliquer tout son programme et rien que son programme. Ces derniers jours, il a pointé les « manipulations » du PS, ce parti auquel il a longtemps appartenu avant d’en claquer la porte, persuadé que l’avenir de la gauche était dans la radicalité et non dans la social-démocratie. Un ancien proche du leader insoumis imagine ce énième piège qu’il pourrait tendre à ses ex-amis socialistes : les laisser se compromettre seuls dans un gouvernement élargi. « Il a en tête l’exemple du PC en 1936 qui soutient le Front populaire sans y participer. Jean-Luc peut être tenté d’accepter un gouvernement sans LFI dans un premier temps, de claquer la porte à la première manifestation dans la rue et de laisser les socialistes s’abîmer avec les macronistes, pour montrer que la seule gauche, c’est lui. Ça répond à son schéma mental : à la fin, c’est nous contre les fachos. »

L’attitude des écolos
Pour les socialistes, l’équation NFP contient une autre inconnue : l’attitude des alliés écologistes. Les négociations ont montré que les Verts en avaient marre de la tutelle du PS et qu’ils étaient sensibles aux sirènes insoumises. « On a besoin d’eux pour réussir, de leurs talents individuels et de leur force collective », justifie un proche de Marine Tondelier. « Mélenchon leur fait des numéros de charme, grince un expert du parti. Les écolos sont en train de se faire mélenchoniser. »

Ça ne les a toutefois pas empêchés d’accueillir dans leur groupe à l’Assemblée nationale les frondeurs insoumis, dont Alexis Corbière, François Ruffin ou Clémentine Autain, en rupture de ban avec leur mentor. Ceux-là, légitimes dans l’opinion, pourraient-ils avoir leur place dans un gouvernement du NFP ou seront-ils ostracisés par LFI ? Le propre du mariage de raison, c’est que rien n’est jamais simple.
Du Blues, de la Soul, une touche de Jazz, un zeste de Rock, une pincée de Folk, un doigt de Country...
Biosmog
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Brigido a écrit :
Biosmog a écrit :
Brigido a écrit :
Le problème des rhétoriques "le programme, rien que le programme", c'est que personne n'y croit


J'arrête là. On appelle ça "programme" car tout le monde sait que ce sera négocié: ce n'est pas un "plan", une "politique", etc... C'est un "programme".
Car comment peux-tu prendre quelqu'un au sérieux, s'il te présente le résultat de la négociation avant même d'avoir négocié? s'il te dit: "on demande le SMIC à tant, mais en fait on ne le demandera pas" ? Je ne sais pas, essaie d'imaginer ça avec une autre orientation politique, ce sera peut-être plus facile pour toi.
Avec Cliclac, vous faites une belle équipe


Mélenchon n'a t-il pas déclaré : "Le Nouveau Front populaire appliquera son programme. Rien que son programme, mais tout son programme" ?

Tout ça ce sont des postures politiques qui lassent les pragmatiques comme moi.
Si tu veux de l'efficacité, déja tu reconnais qu'avec 180 députés tu ne peux rien faire. Ensuite tu annonces que tu devras nécessairement faire des coalitions. Ensuite tu proposes ton programme comme base évidemment, mais en adoptant une posture d'ouverture sans équivoque.
Aujourd'hui les macronistes et même les LR annoncent pouvoir travailler à gauche, jusqu'aux communistes...
La vérité, c'est que LFI doit sortir de l'équation pour que les choses avancent. LFI ne veut travailler avec personne et personne ne veut travailler avec LFI. La solution est donc simple, c'est un éclatement rapide du NFP pour s'affranchir du pouvoir de nuisance de LFI. C'est certainement ce qui va arriver, et c'est tant mieux.


Bon, alors exemple en image du très mauvais journalisme et du pourquoi un programme, c'est pas un froc qu'on baisse au premier questionnement:

Vous battez pas, je vous aime tous
Biosmog
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Si c'est vrai et si j'habitais en France, je m'insurgerais:

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Blow Up
L'extrême centre dans toute sa puanteur. Qui a envie de former un gouvernement de coalisation avec ça, franchement.
"Macron est de gauche" BluesBarbu le 20/02/2021
Brigido
C'est assez facile de relayer les délires de LFI quand on ne vote pas en France.
L'immense majorité des français n'en peut plus de ce parti qui ne veut pas faire avancer le pays, qui ne veut pas gouverner, qui veut juste obstruer (on ne sait d'ailleurs pas vraiment pourquoi). La gauche va encore perdre à cause de son extrême gauche. Pendant ce temps, le centre part tranquillement vers sa droite, où l'horizon est plus dégagé...
Soutenir LFI, c'est faire perdre la gauche dans son ensemble...(c'est vous qui voyez...).
Du Blues, de la Soul, une touche de Jazz, un zeste de Rock, une pincée de Folk, un doigt de Country...
Biosmog
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Brigido a écrit :
C'est assez facile de relayer les délires de LFI quand on ne vote pas en France.
L'immense majorité des français n'en peut plus de ce parti qui ne veut pas faire avancer le pays, qui ne veut pas gouverner, qui veut juste obstruer (on ne sait d'ailleurs pas vraiment pourquoi). La gauche va encore perdre à cause de son extrême gauche. Pendant ce temps, le centre part tranquillement vers sa droite, où l'horizon est plus dégagé...
Soutenir LFI, c'est faire perdre la gauche dans son ensemble...(c'est vous qui voyez...).


La signature de décrets accélérée c'est un mensonge, un délire? Je crois que tu tapes sur LFI parce qu'en réalité tu n'as rien à répondre.
Vous battez pas, je vous aime tous
gatestoavalon
Gna gna LFI c'est des vilains antisémites, c'est de leur faute si tout va mal et si Brigido est tout triste et aigri.

LFI c'est juste l'alibi du Macron dans son jeu d'arc "republicain" qui lui permet depuis 7 ans de rester au pouvoir avec sa bande de coupains bras cassés alors qu'ils détruisent lentement mais sûrement le droit du travail et l'économie française. Quand l'un menace de prendre le pouvoir hop on fait appel au sens républicain des électeurs afin de leur mettre une bonne douille... Et vice et versa.
Brigido
Biosmog a écrit :
Brigido a écrit :
C'est assez facile de relayer les délires de LFI quand on ne vote pas en France.
L'immense majorité des français n'en peut plus de ce parti qui ne veut pas faire avancer le pays, qui ne veut pas gouverner, qui veut juste obstruer (on ne sait d'ailleurs pas vraiment pourquoi). La gauche va encore perdre à cause de son extrême gauche. Pendant ce temps, le centre part tranquillement vers sa droite, où l'horizon est plus dégagé...
Soutenir LFI, c'est faire perdre la gauche dans son ensemble...(c'est vous qui voyez...).


La signature de décrets accélérée c'est un mensonge, un délire? Je crois que tu tapes sur LFI parce qu'en réalité tu n'as rien à répondre.


Les décrets, c'est l'application de la politique d'un gouvernement qui gouverne (à cet instant) en toute légalité...Et alors ? Il y a eu une majorité absolue quelque part ? Le NFP a proposé un nom de 1er ministre ? Macron était il obligé dans ces conditions de nommer un gouvernement le lendemain des élections ??? Non, non et non.
Comme toujours les sbires de LFI remuent de la poussière, enfoncent des portes ouvertes, essaient d'exister dans leur propre néant, pour...rien...comme d'habitude. Ces mecs ne construisent jamais rien, ils n'apportent jamais rien de positif. Ils ne font que générer de la bile, du ressentiment, de la frustration, de la défaite...c'est leur fond de commerce (par contre ils adorent le faire à la TV et sur les réseaux, car comme tous les autres ils ont un bon vieil égo, ils kiffent se prendre pour des cadors, ils kiffent cette sensation de pouvoir qu'ils croient avoir mais qu'ils n'auront jamais, car les français, fort heureusement ne les aiment pas).
Franchement j'en ai rien à battre (je devrais même être content d'avoir de tels loosers en face), je ne soutiens pas le NFP (et d'autant plus avec LFI dedans), mais si j'étais socialiste ou écolo, j'aurais vraiment les boules de devoir me trainer de tels blaireaux.
Du Blues, de la Soul, une touche de Jazz, un zeste de Rock, une pincée de Folk, un doigt de Country...
Brigido
Edit.
Du Blues, de la Soul, une touche de Jazz, un zeste de Rock, une pincée de Folk, un doigt de Country...
Slyonline2
Crésson
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