super_taz a écrit :
Bobba a écrit :
Pour le montage du potard c'est pas compliqué, t'as deux fils sur ton micro, la masse et le point chaud. La masse tu la relie à la masse du potar (et du jack), le point chaud à une extremité du potard et le point chaud du jack tu le relie à la patte du milieu du potard...
et la derniere broche du potard a la masse!
Bobba a écrit :
Mais je te conseille quand meme de laisser le potard de tonalité (quitte à le cacher dans la cavité) car tu risque d'avoir de mauvaises surprise en matière de larsens.
pourquoi?
Ben j'avais deja supprimé le potard de tonalité sur des guitares (squier equipées en humbucker) et j'avais noté un léger boost de volume et des aigus mais pas de pb particulier.
J'ai fais la meme chose sur ma telecaster (Squier toujours, montée avec un SD Hotrails) et là idem leger boost des aigus et du volume (pas enorme hein, mais si vous connaissez vous votre guitare, ça se remarque) sauf que en repet, j'avais des larsens aigus incontrolables..
J'ai remis le potard, et les larsens ont disparus.
Ma conclusion : le potard de tonalité est un filtre passe bas, qui coupe les aigus lorsque tu le tourne. Lorsqu'il est à fond dans les aigus, c'est comme si il n'etait pas là. Sauf que ces potards ne sont pas parfait, et meme lorsqu'ils sont à fond, ils agissent toujours légèrement sur le signal. Et selon la qualité des micros et de la lutherie, ils se peut que le potard evite les aigus de larsenner...
Bref je conseil de le laisser, quitte à le rentrer dans la cavité. (pensez à l'entourer d'isolant histoire qu'il ne fasse pas court circuit en touchant des soudures...)
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969