Ca te fait 3ms de latence (1/44000 * 12
, effectivement en passant à 256 ça te fait 6, on commence à la sentir (surtout si ta carte son affiche en réalité que la taille de buffer et pas la latence réelle, et là c'est le double).
Un des intérêts de travailler à des fréquences plus élevées c'est de descendre en latence et d'avoir des pas plus petits entre deux choix de valeurs (à 96KHz entre 128 et 256 tu passes de 1,3 à 2,6ms de latence, 512 tu reste encore en dessous de ton seuil critique). Faut que le système suive, aussi...
Conernant la fonciton splitter, on contraint le passage par l'ordi pour justement pouvoir faire avec MATCH l'ajustement de niveau, comme ça lors du reamping tout est d'équerre.
Si la carte son n'est pas honteuse, l'impact sur le son final doit être modéré. Surtout un fois le MATCH au vert. Franchement ça simplifie beaucoup la vie de tout cabler à l'avance, mais bon chacun fait selon son goût et ses possibilités.
Citation:
De toute façon, pour faire du reamping, il te faut deux lignes d'output sur ta carte son. Sinon, tu perds les trois quart de l'avantage du reamping .
Il y a toujours au moins une paire stéréo MAIN en sortie de la carte son, il est toujours possible d'utiliser par exemple la gauche pour envoyer le signal vers le Reload et la droite pour monitorer le résultat, il faut juste maitriser le routage dans son soft et bien panoramiquer à fond si on veut éviter le feedback.
Et il faut aussi que la carte son ait une diaphonie très très faible sinon même en panoramiquant à font les deux sorties se bavent l'une sur l'autre est c'est partie pour le larsen.