Le pin et l’épicéa appartiennent, certes, à la même "famille" mais pas au même "genre" : Pinus pour l’un, Picea pour l’autre.
Ce qui en termes de classification phylogénétique, de propriétés mécaniques et de réalité scientifique change pas mal de choses.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.