Hungry freaks daddyyyyyyyyyyyyy !
D'autant plus dans le sujet que mr. Zappa avait compris qu'on pouvait faire de la musique psychédélique sans passer son temps à se bourrer de susbstances lysergiques.
hyperfrench a écrit :
Donc, puisqu'il est désormais clair, qu'on parle de psychédélique au sens large (revival inclu) du terme, je me permet d'envoyer mon groupe fétiche:
Ca par contre c'est mal...Ces types sont la risée nationale en Angleterre...On trouve ce disque dans tous les bacs de solde et les charity shops - rarement à plus de 50 pence. C'est mignon tout plein, mais franchement, passé quinze ans et demi, peut-on vraiment être touché par les miaulements pseudo-mystiques du laddie - "govinda jaya jaya, gopala jaya jaya"...? Sans compter son obessession malsaine pour Hitler et ses sbires, mais ça ne rentre pas en considération dans une discussion sur la musique, bien heureusement.
Quelqu'un a cité HP. Lovecraft un peu plus haut, et même si leurs paroles sont parfois aux limites du risible ("A better day's cooooming, that's the thing I know..."), je leur voue un amour irrépressible.
Est-ce que quelqu'un a eu dans les mains l'énorme coffret consacré aux 13th Floor Elevators qui est sorti ce printemps? J'ai juste entendu la version live de (I've Got) Levitation, nerveuse et acide dans le sampler de Mojo, qui m'a fortement plue, mais le prix dudit coffret m'a un peu découragé...
A-t-on parlé du Red Crayola quelque part?
J'écoutais du psychédélique sixties tout le temps il y a quelques années, mais je dois dire que mes propres escapades psychédéliques m'ont un peu écoeuré de l'esthétique générale, des références plus ou moins bien masquées à l'acide, et du discours général qui devient chiant après quelques temps - "and I opened my eye to the whole universe, and found it was loving", ce genre de choses. C'est comme écouter nos toxicomanes modernes parler : c'est distrayant cinq minutes, puis on a envie de changer de chaîne.