David Watts a écrit :
rapideyemove a écrit :
Talk Talk, oui, pourquoi pas..., même si, personnellement, j'y suis resté totalement étranger.
Pareil pour moi.
En fait, en ce temps-là, ma petite soeur me bassinait avec leur "Such a shame", morceau et album compris, que je trouvais insupportable, comme la voix du chanteur.
(...)
Oui, ce "Such..."–là, toujours aussi dispensable, indifférent.
Puke, je suis tombé sur lui, en tête de gondole, ce soir en recherchant le lien du Doc.
David Watts a écrit :
Je rejetais à l'époque ces groupes (du milieu des 80's) au son vaguement "new wave" en plus commercial (
comme Tears for fears, Depeche Mode, Simple Minds, sans parler des horribles Duran Duran, etc.), bien moins intéressants à mon goût que leurs prédécesseurs underground de la fin des 70's de la première vague post punk.
Je n'ai pas vraiment révisé mon jugement envers les sus-nommés depuis (...)
Moi si, au moins sur le 3º album des Tears, comme je l'ai déjà dit
.
Et, sans doute, sur Depeche pour Gahan et en premier lieu sur la foi de cette prodigieuse énergie ou aura filmée, en concert, par Anton Corbijn (
Devotional, 1993).
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.