Pete O'Dirty a écrit :
guitarchitecture a écrit :
martin carr charismatique?
Ben ouais a peut-près autant qu'un Elvis Presley, c'était évidement ironique, shoegazing et charisme sont deux mots antinomique.
En tout cas pour ma part j'ai toujours eu un faible pour la grande Bilinda et son grand regard timide, dommage quelle soit avec l'autre rouquin.
Bilinda avec une Firebird ?
Je plussoie au sujet de Bilinda, de retour avec les trois autres aujourd'hui, alleluia ! Je ne pouvais manquer d'aller les voir cette année, à Londres puis Paris, avec la même excitation dans les deux cas.
Accessoirement, Bilinda n'est plus avec "l'autre rouquin" de nos jours, dès la fin de la tournée
Loveless en fait. (Le concert à l'Olympia en mars 92 : j'y étais... sans earplugs... et je suis resté jusqu'à la fin. Pas d'acouphènes pourtant.)
Ce que j'ai réellement retenu avec le recul du "shoegazing" est que cette étiquette mettait dans le même sac un tas de groupes très différents les uns des autres, même si des connections existaient. Par exemple j'écoute encore fort assidûment Lush et M.B.V. mais il y a peu de choses en commun entre eux, ne serait-ce que soniquement entre
Spooky et
Loveless respectivement, pourtant sortis presque en même temps ?
Peut-être qu'en définitive, ce qui reliait ces groupes était plutôt ce que Steve Sutherland appelait "the scene that celebrates itself" pour dire qu'ils allaient tous se voir en concert les uns les autres, sans parler des affaires de cœur entre eux puisqu'ils comportaient souvent des membres des deux sexes, ce qui était moins répandu avant.