Vous et l'alcool

C'est génétique ce genre d'addiction. Certaines personnes deviennent très facilement alcooliques, alors que d'autres ne le deviennent que très difficilement. Pareil pour les clopes ou autre.

qu'est ce qu'on lit comme conneries ici...

On est bien d'accord: ce n'est pas qu'un seul gène qui rentre en compte, mais une multitude! Par exemple le changement de la perception de l'alcool en fonction des individus. Et ces perception (par exemple) se transmettent en général et sont héréditaires.
Renseigne toi un peu car même si je me suis un peu mal exprimé, il est vrai que chaque personne perçoit et réagit à l'alcool de façon différente!

super.... Mr. "ange du peche"

Ouais, enfin, Angel Of Sin, il taffe dans la bio, et d'après ce que j'ai pu lire de lui, il m'a l'air d'en connaitre un rayon. Et, justement, cette partie sur les gènes et tout, il doit certainement en savoir plus que vous.

jamais dit le contraire mais ce genre de reponses on s en fiche un peu quoi...
apres si on se fait sermonner c est cool mais bon on echange des astuces entre personnes qui apprecient l alcool "recreatif" si vous jugez qu on est des alcoolos finis c est cool mais moi perso je m en contrefiche...

a bon entendeur

Surtout, que sa réaction était surtout une réponse à l'épisode sur les genes de l'alcoolisme et le bordel...

Après, je me demande comment t'arrive à faire une relation avec le fait que tu serais soi disant pris pour un alcolo, je veux bien connaitre ton raisonnement sur ce qui t'as amené à cette idée...

Si tu savais ce que je me mets dans la gueule assez régulièrement...

n'importe quoi... c'est un gag ce forum parfois.

putain par rapport à mon post précédent j'ai peur pour mon festival de blues demain, (deux nuits guitare+biere gratos) je sais que je vais me faire beaucoup plaisir, mais déjà la journée du dimanche dans la tente je serais en mode tangerine dream, mais la journée du lundi je serais peut etre un légume)
y a une forme de masochisme quelque part, on se dit qu'on recommencera pas, qu'on veut pas etre malade comme un gros chien, et pourtant on y retourne.

en tout cas force d'efforts, je me suis taillé une panse digne d'égaler malmsteen (d'ailleurs c'est la seule chose que je peux défier chez lui, car niveau vitesse par rapport à lui je suis complétement à la rue looooool)

C'est plus ou moins la définition de la dépendance hein. Quand on lit "je picolais 6 jours sur 7, mais pas de problème avec l'alcool", ça laisse songeur. L'alcoolisme ce n'est pas que le pochtron au calva à 7 heures du mat, même si la dépendance ne s'installe pas forcément après les années de picole estudiantine, l'organisme en prend quand même un sacré coup, faut pas rêver.

faisons un test!

qui ici serait capable de prendre le challenge: "j'arrête la bière aujourd'hui".
pas grand monde a mon avis, et certainement pas moi.
à mon avis, ça c'est aussi quelque part le début de l'alcoolisme non?!

Bah c'est un peu un truc a la con c'est comme si on disait "t'arretes le boeuf aujourd'hui" ou "t'arretes les frites". J'suis accro ni au boeuf ni aux frites mais ca me ferait grave chier d'arreter d'en manger, et j'pense que la biere c'est pareil.

évidement si on le prend comme ça c'est un truc a la con.
sauf que c'est la définition d'une addiction, si tu bois un verre de vin par jour le midi a table, et qu'un jour tu n'en as pas et que ça te manque, c'est ça le début de la dépendance au sens scientifique du terme.

le boeuf et les frites je peux arrêter d'en bouffer aujourd'hui sans problème, même si ça me fait chier, par contre la bière j'essaye de mettre un frein en ce moment et je peine a y arriver (parce qu'en rentrant du taf j'ai envie que de ça)... tu vois la nuance?

Salut les alcolos !

pour me présenter, j'ai bien picolé de 17 à 27 ans avec un gros pic les 4 dernieres années a cause ou grace au stress des exams et au chomage.

Je suis plus stable dans ma vie et j'ai du m'écarter de mon cercle de potes alors j'ai mis un gros frein, en général je ne bois meme plus la semaine et je fais pas mmal de sport.

Pourtant le WE, si je ne prends pas cher au moins une fois, je trouve ca triste. Meme si ca se resume surtout a un gros repas au rouge.

Du coup, j'arrive sans peiner a ne pas boire, mais je prefere eviter de commencer parce que la tentation du second verre est trop forte.

Ma copine m'a traité gentiment d'alcolo, je prefere dire que j'ai un probleme avec l'alcool que je gère plutot bien

Tu sais, l'alcoolisme héréditaire, ca date de Zola. Il n'y a pas de gènes qui commandent les addictions, une addiction vient plutôt au niveau moral. Certains ont plutôt un caractère qui leur permet de résister aux addictions et d'autres non. Ca peut se remarquer, très souvent les gens addicts par exemple à la coke ou l'héro sont aussi addicts à la clope ou à l'alcool. Pareil pour les gros fumeurs de joints qui souvent clopent ou picolent. Par contre, il est vrai que certains "tiennent" mieux l'alcool que d'autres par une prédisposition génétique (efficacité du foie plus importante, récepteurs plus ou moins sensibles).

Dire que c'est héréditaire veut aussi dire que l'on oublie l'aspect social de la transmission - qui n'est pas systématique d'ailleurs.


J'ai survécu à la fin de l'été, mais les choses empirent depuis mon retour à la fac. J'ai passé le mois à boire systématiquement plus de deux ou trois litres de bière par jour, souvent en journée + soirée. Mon niveau d'attention s'en ressent, je suis crevé tout le temps et ma mémoire semble aussi en prendre un coup. Une petite crise l'autre soir - avec hallucinations synesthésiques, délire et confusion après avoir bu trois ou quatre bières - m'a bien foutu les jetons et depuis j'essaie de réduire...Mais je m'aperçois que sans boire de la journée, je tourne en rond et ressens l'envie de tuer tout le monde. Pas glop bref. Mais je vais tenir bon - deux jours déjà, mon record depuis un petit moment. Même si j'aime toujours autant tout ce que j'associe à la boisson...