Vos écrits

Si CŸD révèle l'histoire de la fin de la 2ème saison de Dexter (en particluier le 12ème épisode) ici, il est fort probable qu'il finisse comme une des victimes de Dexter… 

EDIT : bon ça va… 

Disons qu'en aucun cas je me force à écrire comme ça, c'est ma manière d'exprimer les choses. Tu verras beaucoup de chroniqueur qui vont décrire avec des mots simples un album mais en même temps et dans biens des cas, le papier te donnera pas envie d'aller l'écouter. Je pourrais faire plus simple, mais je suis sur que je perdrais quelque chose en chemin.

moi de mon coté, j'ecris beaucoup depuis pas mal d'années, du bon comme du mauvais, mais bon plus les années passent, plus on s'ameliore...ce que je fais regulierement c'est retranscrir les reves que je fais...enfin de ce que je me souviens(j'ai une vie onirique assez hyper active, je vis des choses vraiment incroyables...et si je me souvenais de tout des le reveil ca perdrait de son charme je pense)

sinon j'ecris des scenarios(y en a un sur lequel je bosse depuis 2 ans environ, c'est plus ou moins autobiographique, c'est ce scenario qui m'a permis de sortir de ma depression et de me retrouver...en gros le perso part dans son subconscient pour se retrouver face a lui...et je met en scene un univers assez particulier(entre expressionisme allemand, monde glauque et insalubre, creatures difficilement definissables, ambiance tantot onirique et chaleureuse tantot cauchemardesque et froide/sombre etc...)bref c'est compliqué a expliquer mais il est regulierement modifié...c'est un genre de self-therapie que j'ai trouvé...pas mal efficace en ce qui me concerne)
mais j'en ai d'autres moins "ambitieux" et moins serieux en cours...

pas mal de poesie aussi(parfois plus a l'aise en anglais qu'en francais d'ailleur mais j'ecris dans les deux langues)
des nouvelles aussi...

il y a aussi ce que j'appelle des "Paysages emotionnels", des phrases qui me viennent suite a un sentiment quelconque(en sortant d'un reve j'ai souvent ce genre de phrases), elle me permettent de mettre en scene une image, une idée, suite a laquelle ca m'inspire pour un dessin ou un air de musique par exemple...je sais pas si c'est tres clair, c'est assez special comme concept mais j'aime beaucoup quand ca j'arrive a mettre quelque chose comme ca sur pied...

bonne idée ce topic^^

Tiens, j'ai envoyé une chronique à Sefronia. Ils répondent vite en général ?

je lui reproche la même chose depuis qu'il écrit tout court, mais comme tout n'est pas mauvais, j'ose espérer qu'il va arrêter de s'obliger à trouver les comparaisons les plus incongrues ou les phrases les moins bien associées au monde... sinon il va finir chez rock'n'folk

I have no idea.
Ca fait un mois que j'ai rien pondu moi.
T'as envoyé quoi ?




Je remarque qu'il y'a toujours ces notions d'obligations : se forcer à / essayer de...
Je le répète encore, je cherche pas à avoir un style, "Le style est mon ennemi" comme disait l'autre ...
J'écris tout ce qui me passe par la tête en essayant de donner une forme cohérente au tout, et encore c'est soft, on m'a refusé des chroniques parce que je sortais que des choses abstraites. Du genre mais je m'en souviens plus très bien "Ce pont sonne comme un âne bâté qui se les pèle à Calgary".

Tiens j'avais lu quelque part, Lenny Kaye affirmer (il est aussi chroniqueur) que lorsqu'on parle d'un album, il y a une part d'abstrait et de poésie pour toucher au plus près l'essence d'un album (ou oeuvre, tableau, film etc). Donc depuis que j'ai lu ça, je cherche plus à essayer de masquer ma façon d'écrire, malgré toutes les remarques qu'on me fait.

Bah personnellement j'écrit quelques textes en anglais qui ressemblent vaguement à des textes, pour les petites compositions que je m'amuse à trouver.

J'ai beaucoup beaucoup de textes à retravailler, mais je commence un peu à réussir à poser des bonnes syllabes au bon moment...

@ didi : une chronique de Mastodon.

Ya des chroniqueurs d'XSilence dans le coin ? Je n'ai écrit que 2 3 chroniques dessus, mais je compte m'y mettre sérieusement là (mon pseudo est Sugar Kane sur XS)

Mais mon pauvre ami, chez Sefronia on chronique de la musique, pas du métal!

j'aime encore bien l'idée de se mettre devant une feuille avec sa plume et son encrier !!

Bien entendu, maintenant on ouvre son notebook, on clique sur world et on se penche sur son clavier... c'est certes moins poetique, mais le resultat et la motivation restent les memes !
Simplement retranscrire le plus clairement une idée, ou une fiction, avec l'espoir plus ou moins inavoué que quelqu'un nous lise un jour...

Perso c'est ce genre de connerie que j'aime bien ecrire, ca sert à rien, mais ca a le merite de me vider l'esprit. Je pars sur une idée ou un constat et hop je devellope...

allez pour les plus motivés je vous copie une petite histoire que j'ai ecrit à un pote sur une carte de voeux pour 2008...




Personne d’autre que…

Il alluma machinalement sa télé, et s’affala sans discrétion sur le canapé informe qui meublait son salon. Il avait passé son début de soirée à potasser un vieux bouquin qu’il avait retrouvé poussiéreux dans le fond de sa bibliothèque, et il n’avait pas encore totalement quitté le monde imaginaire de la littérature anglaise dans laquelle il s’était plongé.
Il zappait dans le vague depuis maintenant quelques minutes, tombant tantôt sur des films vus, revus, et matraqués sur les ondes, tantôt sur des publicités plus ou moins réussies, ou bien encore sur des reportages animaliers, commentés de la quasi traditionnelle voix berçante, suave et masculine.
Soudain, cassant la rêverie de notre personnage, on frappa doucement à la porte. Ceci ne manqua pas de le surprendre, personne ne savait qu’il vivait ici. Absolument personne. C’est pourquoi à travers la porte il demanda :
« -Qui est-ce ? »
Le naturel de la voix qui lui répondit le surpris :
« Personne d’autre que l’amour »
Sans plus de tergiversations, il ouvrit.
L’Amour venait de frapper à sa porte, sans crier gare, et sans s’annoncer. Un Jeudi soir, vers la mi-octobre, il était onze heure moins le quart, entre une réclame pour un rasoir, et un western hollywoodien.

Si t'étais pas mauvaise langue, et que t'avais pas 2/10 à chaque oeil , t'aurais vu qu'il y a une rubrique Metal.

Moi, j'écrit des "paroles" en anglais pour mon groupe ... mais bon...

Je suis également adepte de l'écriture à la main, c'est beaucoup plus direct et "sincère" je trouve que de simplement taper sur un clavier. J'ai toujours un petit cahier avec moi et quel que soit l'endroit, si une situation cocasse se présente je peux retranscrire directement mes idées et mes envies...

Il est clair que ce que l'on écrit est très personnel, et étant plutôt timide de nature, je ne suis pas vraiment tenté de faire lire mes histoires à d'autres. Du moins pour le moment. Étant donné que j'écris avec mon feelig et ma vision des choses, j'ai un peu peur que la personne ne me comprenne pas, ou pire se moque...

Par contre je relis et aide un ami pour son ouvrage de science fiction et c'est très constructif pour moi.

Ton histoire est sympa

ouaiiiis trop bien, avec trois CD et demi, le dernier datant d'un an environ, chroniqués par une espèce de moitié de métalleux à la culture limitée, et qui chronique quoi? Hatebreed, le dernier Watcha, le dernier Korn, alors qu'un nombre incalculable d'albums assez incroyable est sorti ces dernières années. Donc c'est tout, ma remarque ironique faisait juste allusion au fait que Sefronia soit très loin d'avoir une politique métal, mais monsieur prend vite la mouche

Pour ce qui est des remarques sur le style, je te répondrais juste que ne pas brider son imagination est une façon d'écrire en soi... et tu avoues toi même être influencé par l'écriture abstrite de Lenny Kaye, ne me dis pas que la seule caractéristique de ton style est une absence de style... voilà, on te faisait remarquer qu'un peu de retenue dans certains passages trop "abstraits" si tu veux serait de bon goût, tu peux t'asseoir dessus si ça te chante, ça n'était qu'une remarque sur la forme.

Jean-Jean, soudain torturé par son cerveau reptilien décida de se rendre aux commodités afin d'y abandonner une déjection qu'il ablata à l'aide du précieux pouvoir cisaillant de son anus. Après avoir laissé échapper un léger son de satisfaction, Jean-Jean se tut. Envahit par des songes tous plus aberrants les uns que les autres il s'empara de quelques feuilles de papier hygiénique, les plia en y prenant le plus grand soin et s'apprêta à exécuter ce fameux mouvement instinctif de l'avant bras qu'il trouvait pathétique. Le mélodie de la clarté se fit entendre puis la porte se referma. Bien que rien n'eût pu présager ce qu'il allait advenir, il se saisit de sa clef usb et s'en fut à vive allure chez le Professeur John Mc Clone, un collègue à lui qui travaillait aux laboratoires inférieurs.

"John, c'en est trop, je n'ai pas fais des études d'ingénieur pour me faire asperger la raie quand je vais défèquer !"