Britney Spears a écrit :
Bobba a écrit :
Besson réalisateur ou Besson producteur ? Parce qu'après le 5ème élément il n'a pas réalisé grand chose, et le peu qu'il a fait était franchement pas mal (Janne d'Arc, Arthur)
Euh Jeanne D'Arc et Arthur c'est aussi mauvais que le reste de Besson. La romance dans Jeanne D'Arc est imbuvable.
Ben non voyons, tu te trompe.
Plus sérieusement, on ne t'a jamais appris à dire "je n'aime pas" à la place de "c'est pas bon" ?
Les acteurs sont bon (Jovovitch ne sais faire qu'un role, mais elle le fait bien), l'image est soignée, les transitions aussi, la musique est top. Le parti pris de faire passer Jeanne d'Arc pour une schizo illuminée est originale. Bref, il ne manque pas de point positif ce film. Mais t'as le droit de ne pas aimer.
Citation:
Bobba a écrit :
Sinon les américains s'en sortent mieux parce que quand t'as 2 lignes de texte, c'est toujours plus cinglant de les dire en anglais.
Là non plus je ne suis pas d'accord. Lequel de cinéma américain?
Les films d'Almodovar ne sont pas toujours riche en dialogues, mais les scènes sont intenses et une phrase peut faire exploser l'ambiance, la plomber... Que dire du cinéma des japonais? Certains films ont de longues minutes sans dialogues et lorsqu'il y a une phrase c'est très puissant. Idem pour les films polonais, russes...
D'une part un film ne se fait pas avec la densité des dialogues et d'autre part le cinéma US est toujours caricaturé aux films bénéficiant d'une grosse communication et qui sont souvent très mauvais.
Je n'ai jamais dis le contraire, je parlais simplement de ça
Citation:
Mon dieu: je viens de voir le trailer: c'est typiquement le genre de film ou les français sont mauvais, je trouve. Le jeu d'acteurs et les dialogues sont déjà minables, sans parler du scénario digne d'une rédaction de 3e d'insertion...
Ce sont des handicaps que les américains arrivent en général à surmonter grâce à leurs extraordinaire talent pour monter les scènes d'action et entretenir le suspense, et sauver le truc en le transformant en nanar vaguement regardable en fin de soirée.
Comme les français sont nullissimes dans ces domaines, ça donne des films fadasses au scénario téléphoné ou on baille quand on devrais sursauter, sans le moindre intêret.
Ce qui repond à ta question "Lequel de cinéma américain ?" Tu vois bien que je ne parlais pas de Woody Allen.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969