Biosmog a écrit :
lastaly a écrit :
Biosmog a écrit :
mon voisin
pelle la neige
non
la police du langage a aussi tendance à m'énerver, surtout quand elle s'exprime à tord et à travers pour nous interdire ce qu'elle ne connaît pas et nous obliger à parler une langue stérile, uniforme et sans nuance.
(...)
Waouww, Cherokee, T'bernac', j'l'avais ratée celle–là...
Mais bien vu.
Bien.
Sur toute la ligne.
Tu ne sais sans doute pas à quel point.
Mais, je doute de l'utilité voire de l'écho de cet accord et de son retard, sourdement.
D'autant plus que j'allais faire mumuse, avec de la mimique, autour de la transitivité directe ou pas.
Ce qui, au vrai, ne répondait absolument pas au problème.
Mais j'aime bien promener mon chien savant, c' bâtard, c'métis, et ses ruses, voui, le promener de temps en temps, lui faire prendre le frais, et un peu de sirop de rue, comme de réverbères, pour une lanterne de plus. Ou de moins.
Yep, I'm walking proudly my barefoot dog, and his ghost, as a contessa.
Long tall Sally was out of sight.
Yes, we're barefootin'
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.