Les questions (c*ns) que l'on se pose ...

Les avis n'ont pas l'air terrible à propos de ce livre, non ?

Euh ... si

(infini = infini actuel ... Même Einstein a renoncé à cette représentation suite aux observations de Hubble sur le décalage du spectre lumineux des étoiles les plus lointaines vers le rouge= effet doopler.... En expansion -à ne pas confondre avec "en extension"- = infini potentiel)

Ah ah joyeuse exubérance de la jeunesse !
Bien sûr que tu peux jouer.


D'après mes calculs, jusqu'en 2052 au moins.


Ensuite il va s'arrêter de s'expandre pour se reposer un peu, ça fait quand même 13,8 miliards d'années qu'il s'expand !!!
Il va s'arrêter pendant 255 millions d'années, durée pendant laquelle nous serons inviter à réfléchir à notre condition.


C'est une sorte de... un genre de... c'est pas matériel ! ça défile.

Moi je sais le temps est un monstre car c'est jusque seuil de la mort que le temps t'accule

auto affliction

Il vaut mieux que le temps t'accule que le tas.....

Je n'en ai aucune idée - je les lirai après

J'aime beaucoup, même si ce n'est pas forcément à la hauteur de certains autres de ses bouquins (on sent qu'il a dû écrire ça à toute berzingue/ne pas être relu, y a des coquilles). Mais de toute façon, faudra juger sur l'ensemble, soit en principe une nouvelle trilogie - idéalement deux ou trois fois ça, parce que vu l'ambition du truc et le rythme adopté, on n'en est encore qu'à découvrir les personnages et leurs mondes.

Tu as des liens ?

La définition la plus horrible du temps, elle est romaine :

"Chaque seconde blesse, la dernière tue"

C'est pas tout à fait exact, en vrai c'est "Vulnerant omnes, ultima necat" qui veut dire "chaque heure blesse la dernière tue" et c'était inscrit traditionnellement sur les cadrans solaires


J'apprends en déconnant, édition Le cherche midi, 1993

Hey, c'est un Whitestein

En fait c'est contradictoire pour un espace eucludien. D'après ce que j'ai compris, l'univers c'est une sorte de pacman en expansion. Il n'a pas de bord, on peut se déplacer dans une direction infiniment. Quand on arrive vers un des (non-)bords, on réaparait de l'autre côté du tableau. Donc l'univers est bien l'univers (rien n'existe au-delà), il est en expansion et il est infini.
Mais je crois qu'on peut dire exactement le contraire sans être catalogué d'obscurantiste. Ce sont des conjectures.

Exactement : «Toutes blessent, la dernière tue»

Ni heure ni minute ni seconde à l’explicite : le latin est fréquemment elliptique.

On dit "univers"
...mais vers quoi ?

Univers... solitaire, bien sûr

Ahhh précisions utiles, je savais pas merci !
Par contre les chiffres des cadrans renvoient aux heures, d'où "lire l'heure, savoir quelle heure il est etc."
On peut légitimement penser que "toutes blessent" évoquent donc les heures, et que "Chaque seconde blesse, la dernière tue" est une version plus saisissante mais pas très fidèle à l'original.

Et puis moi aussi je peux être elliptique, si je veux.

Le latin laissait planer le doute.

Dès que je vois un doute qui plane je sors mon fusil, j'aime pas ces bestioles.

Un ange passe, là d'accord.