Biosmog a écrit :
…
Le rock business (surtout) a construit des espèces de divinités intouchables, parfaites de bout en bout. Comme disait je ne sais plus qui, il faut être mort à 27 ans pour ne pas avoir décliné au moins temporairement dans sa carrière.
Le rock business et le besoin de cohésion du public: se retrouver dans une « communauté »autour d’une idole il me semble. Je vois surtout une défaillance humaine que le rock business a su exploiter : « Vous voulez des dieux, on va vous en vendre ». Facilement observable chez les fans de grosses industries musicales tous styles et âges confondus.
Les fanatiques m’inquiètent. Le moindre avis négatif a l’encontre de l’idole et le fan de sent attaqué personnellement. La personne s’identifie, s’approprie l’identité culturelle, visuelle, artistique… le travail de l’artiste alors que sa seule réalisation a été d’abandonner son esprit critique.
Ps : merci pour la piste Destroyer hier, mais c’est clairement pas ma came.
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