Pour étoffer un peu le contexte entourant cette farce d’ignorants pathétiques autour des
Suppliantes d’Eschyle, on pourra toujours, entre autres sources, se reporter à l’article de
Laurent Carpentier paru dans
Le Monde.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.