PP a écrit :
j'enseigne le français...
sur les 200000 à 270000 mots de la langue française, on note quelques centaines d'emprunts à l'arabe ; quelques centaines... pas plus... et aucune influence sur la structuration des phrases et de la pensée ; j'appelle cela une influence négligeable.
les emprunts, il y en a dans toutes les langues, aux voisins, aux cultures dominantes, aux rencontres de l'Histoire (les croisades pour ce dont on parle).
bref...
Tu parles d'emprunts directs ou indirects? Puisque le Français s'est aussi nourri de l'Anglais, des langues Nordiques, du Normand, et de l'Espagnol...
Ensuite la question n'est pas de savoir si le Français compte 300 000 mots mais de savoir quelle proportion de cet espace sémantique est couramment usité, et de quelle place y occupent les "emprunts"...
PP a écrit :
pour le moyen-âge, dont il reste peu de traces en effet, la question qu'on pose aujourd'hui c'est comment on analyse cette absence ; les observations actuelles ne vont pas forcément dans le sens de Michelet et autres historiens ayant influencé l'apprentissage de l'histoire depuis 150 ans.
(je développerai plus tard...)
La question n'est pas de savoir si le Moyen age a ete une periode vierge ou pas. Il n'y a pas besoin detre Historien pour comprendre que cette periode est en effet un trou noir en comparaison des 2 eres qui le bornent.
Quant à l'apport Arabo-musulmanes dans les sciences, l'architecture, la gastronomie et j'en passe seule la mauvaise foi peut la nier. Que cet apport soit structurant ou pas je n'en sais rien mais il existe...
BluesBarbu a écrit :
Sans oublier les maths piqués aux grecs, babyloniens, assyriens ...
Comme je suis mathématicien tu vas surement m'expliquer des trucs sur le sujet
D'ailleurs Algèbre c'est un mot d'origine Grecque
"Sans une faciale de temps en temps, peut-on réellement parler d'amour?", Ben.oît
#Free the nipple!
#FreeMissDaisy