Poison ?
Ou potion ?
Juste une affaire de dosage, donc du numérique, de la mesure, pas seulement de l'étymologie...
Voici
Digitalis purpurea, la "Digitale pourprée" :
...puis, sans oublier l'atropine de
Pulp Fiction pour Uma Thurman, voici un autre antidote (un anticorps) de la digitale et de sa digitaline :
I dig it ...
in naso.
Pas de quoi mettre et remettre un
digitus impudicus à l'honneur.
Ni d'avoir, à l'oreille dressée, un orteil bête comme ses pieds...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.