A. REY, L’amour du français. Contre les puristes et autres censeurs de la langue, Paris : Denoël, 2007, pp.243-244. a écrit :
Lorsqu’on dit "ce n’est pas du français" et, de manière nationaliste, "ce n’est pas français", ce n’est jamais pour désigner du chinois, du russe ou de l’anglais, mais du français, justement, du français refusé, rejeté, écarté, au nom d’une décision obscure, historique et collective – de cette collectivité puissante, oligarchique, qui s’appelle le pouvoir.