Adam Bopel a écrit :
cliclac a écrit :
et si ce n'est pas en presentiel comment dit on son contraire ? ...
En absentiel, non ?
Chaque profession utilise ses codes de langage et son jargon, celui de l'Education nationale n'est pas mal, dans le genre ... Petit florilège :
un apprenant - un éduqué - un public spécifique - des élèves à besoins éducatifs particuliers - l’appropriation des démarches – la remédiation - l’inappétence pour le travail - les personnes ressources – l’outil scripteur – la piste graphique - la construction du geste graphique aboutissant à la maîtrise du geste grapho-scripteur - le mode présentiel (qui normalement devrait s’accompagner de son inverse, le mode « absentiel ») - les champs disciplinaires, comme par exemple l’ORL (organisation réfléchie de la langue), les arts visuels, la production d’écrits, les activités praxiques - le parler vrai et le faire sens - les situations fonctionnelles et situations d’expérimentation - les moments de langage - la production langagière - l’imprégnation linguistique - les énoncés embrayés - les marqueurs de personnes - le contrat de vie et la charte de comportement – milieu aquatique profond standardisé.
(source :
http://explicitementvotre.blog(...).html )
Le fin du fin, c'est quand même le référentiel bondissant. En langage vulgaire, on appelle ça un ballon. Pour les profs en pays d'ovalie, ça devient un référentiel bondissant aléatoire (je n'invente rien !!). Et si vous croyez qu'une salle de classe a des fenêtres, détrompez-vous ! Ce sont en réalité des espaces transparents. Putain, qu'est-ce que j'ai pu détester certains aspects de l'IUFM !!