...::: Le Travail :::...

Une société qui vante le travail comme une valeur cardinale (généralement ce sont ceux qui ne se tuent pas au travail qui disent ça).
Mais qui est incapable de donner du travail à tout le monde (5 200 000 chômeurs toutes catégories, tous des branleurs évidement qui refusent les offres d'emplois).
Et pire qui ne permet même plus de vivre décemment en travaillant avec des salaires de merde, l'ubérisation, le retour du paiement à la tache etc... (le nombres de travailleurs pauvres augmente)

Il y a un truc qui déconne quelque part non ?

Dans ma vie professionnelle j'ai toujours vu des gens ayant la réputationde glandeurs vu de la hiérarchie mais qui, côtoyés au quotidien s'avéraient très utiles pour le groupe. Les dirigeants la plupart du temps sont totalement aveugles là-dessus.
Je n'exclus la possibilité qu'il y a des glandeurs inutiles mais ça doit être rare.

On pourrait avoir le même raisonnement pour ceux qui n'ont pas eu d'enfant pour la retraite :
La société ne leur doit rien !
Et ce, même dans le cas hypothétique d'une retraite par capitalisation.
Dans tous les cas, ce sont les enfants qui travaillent cotisent pour leurs parents en retraite actuellement, ou font fructifier la capitalisation par leur travail.Pourquoi cotiseraient ils pour les parents des autres, ou pire des non parents ?
Après tout, les enfants passés ont cotisé pour leurs propres parents.
Quand à la retraite : certains vivent 30 ans à la retraite...Oui et?
Ce n'est pas de l'argent perdu, c'est de l'argent investi et placé : au bout du compte, les enfants en héritent, l'état recupere sa Dime dans les droits de succession, et sur ces 30 ans passés sous forme d'impôts et de taxes.
D'autres parts, les retraités sont souvent économes: c'est de l'argent souvent mis de côté qui contribue à garantir les capacités bancaires par un matelas non négligeables.
Ensuite, par leurs consommations, leurs besoins de services, ils contribuent à la vie économique du pays. C'est peut être là où il y a un véritable ruissellement.
Quand aux enfants : ce sont eux qui iront se faire tuer en cas de guerre, et devenir des assassins pour sauver les fesses de ceux qui en profitent tranquillement , sécurisés à l'arrière.