Mon problème, c'est que je ne suis pas constant. J'ai des grosses périodes de sociophobie -celle que je traverse actuellement, bien que relativement récente, étant l'une des plus abouties, alternées avec des périodes de doute, d'incertitudes plus ou moins longues ou je renoue avec mes velleités de "réussite sociale". Dans ces périodes là, je l'avoue, il peut même m'arriver d'aimer travailler.
Dans la pratique, sur tous les plans, ça se traduit par des cylces de construction/destruction parfaitement conscients et organisés mais, il faut l'avouer, de moins en moins faciles à contrôler. Une manière romantique de décrire les choses est de dire que j'aime bien changer régulièrement de vie. C'est celle que je préfère. Une autre, plus sombre, serait de dire que j'éprouve un besoin irrépressible de détruire ce que je construit. Qu'en pensez-vous?
*: NOBODY EXPECTS THE SPANISH INQUISITION!